Conférence publique CePCO – Prof. Francis Milot-Lapointe
Mardi 24 octobre 2023 de 17:00 à 18:00
Lieu : Salle 1620, Bâtiment Géopolis, Université de Lausanne
Résumé : Bien que le counseling de carrière individuel (CCI) soit une modalité d’intervention généralement efficace, tou.te.s les client.e.s ne retirent des bénéfices cliniquement significatifs de leur participation à ce type d’intervention. S’appuyant sur la littérature scientifique des 20 dernières années, cette présentation fait état de facteurs explicatifs de la variabilité dans les effets du CCI. À l’issue de la présentation, les participants devraient être en mesure d’identifier les pratiques susceptibles de leur permettre d’augmenter l’efficacité de leurs interventions.
En août 2024, l’Institut Technologies de la Mode lance pour toute la Suisse la première édition en français de cours de préparation à l’Examen Fédéral de FASHION DESIGNER DF. Ce cours pionnier sera majoritairement accueilli au sein des installations de l’École de Couture du Valais, à Sierre:
Selon un contact avec l’AVALEMS (Mme Müller), seule la formation dispensée par la Croix-Rouge est actuellement reconnue en Valais, et permet d’avoir une autorisation de pratiquer délivrée par le Service de la santé publique.
Les formations proposées par Ardévaz, l’ESSR ou Culture-Formation par exemple ne permettent donc pas de travailler dans un EMS ou autre service soumis à la réglementation sur la santé publique.
Au vu de la pénurie de main d’oeuvre dans le domaine, et des besoins croissants à venir, des discussions sont en cours entre les milieux professionnels et les autorités sanitaires pour élargir les conditions de reconnaissance. Des changements pourraient intervenir encore cette année, mais sans plus de précisions pour le moment.
La RTS était présente au CIO de Sion pour incarner le nouveau cours Carrière au féminin qui a démarré ce matin.
Joli coup de projecteur pour notre office dans le 12:45 du jour.
Bravo au Groupe de travail Mandats institutionnels qui a travaillé sur cette thématique de la réinsertion professionnelle
des femmes ayant interrompu leur activité professionnelle pour des raisons familiales et qui a élaboré le programme.
Une nouvelle organisation faîtière voit le jour en Valais. L’association FC Valais – pour formation continue Valais – a tenu son assemblée constitutive mardi soir devant une septantaine de participants. Parmi les membres de cette nouvelle structure : la HES-SO Valais-Wallis, l’Association valaisanne des entrepreneurs (AVE), le Bureau des Métiers ou encore le Centre valaisan de perfectionnement continu (CVPC). L’association s’est dotée d’un comité avec à sa tête le directeur de la HES-SO Valais-Wallis, François Seppey.
La faîtière a aussi adopté des statuts, qui fixent comme objectif la promotion de la formation des adultes et l’employabilité des travailleurs du canton. «La formation continue est importante pour favoriser le développement personnel ou la réinsertion dans la vie ordinaire, explique François Seppey. Il faut mettre cela en lien avec les parcours professionnels des individus. Le temps où on restait toute sa vie dans la même entreprise est révolu.»
Le perfectionnement pour les adultes prend de l’ampleur depuis plusieurs années. Le canton connaît pléthore d’organismes en la matière. «Ce n’est pas toujours évident pour le client de s’y retrouver», reconnaît le directeur de la HES-SO Valais-Wallis. L’une des pistes évoquées pourrait de mettre en avant de manière coordonnée l’ensemble des offres disponibles sur le marché.
La CDIP souhaite généraliser à l’ensemble de la Suisse le système de grille de compétences scolaires développé par le canton de Berne. Cet outil permet aux élèves du secondaire I de situer précisément et concrètement leur niveau dans différentes branches scolaires, afin de vérifier si leurs compétences correspondent aux exigences des apprentissages qui les intéressent.
Disponible depuis début août, l’offre s’adresse aux élèves des degrés secondaires I et II (entre 6 et 18 ans) qui souhaitent partir dans une autre région linguistique de Suisse. Elle permet d’obtenir des subventions pour l’organisation du projet, le voyage ainsi que le séjour sur place, qui peut aller de 10 jours à un an. Ce soutien peut être demandé par les écoles et les cantons, mais également – élément nouveau pour l’année 2023/2024 – par les parents.
Dans un contexte de pénurie touchant aussi bien le domaine des soins que de l’enseignement, le Conseil d’Etat prend des mesures importantes pour ces deux secteurs. Le canton a ainsi décidé d’investir des moyens conséquents pour améliorer les conditions de travail du personnel soignant de l’Hôpital du Valais, des EMS et CMS. D’autre part, afin de renforcer l’attractivité de la profession et d’assurer la qualité de l’enseignement de l’école valaisanne pour l’ensemble des degrés, de la scolarité obligatoire au secondaire II général et professionnel, des mesures significatives seront mises en œuvre dès la rentrée 2023/2024.
A partir de quel âge ai-je le droit de consommer de l’alcool? En tant qu’apprenti ou apprentie, puis-je faire des heures supplémentaires? Quel est l’âge de la majorité sexuelle? Si je ne respecte pas la loi, qu’est-ce que je risque? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles le site reglo.ch répond « par des informations juridiques sûres ».
« Il y a presque trop d’informations et les jeunes ne savent pas forcément où les trouver. L’objectif est précisément de centraliser toutes leurs questions », explique Valentine Schaller, co-responsable de reglo.ch pour le Service de la protection des travailleurs à l’Etat du Valais, mardi dans le 12h30 de la RTS.
La plateforme a été développée par le Service cantonal de la jeunesse, avec différents services (affaires juridiques, enseignement, formation professionnelle, protection des travailleurs et des relations du travail) et offices, notamment de l’égalité et de la famille, ainsi que des partenaires de terrain comme la police cantonale, Promotion Santé Valais, Addiction Valais, les centres SIPE et la LAVI.
Le document Indic’Emploi, véritable mine d’or élaborée par la doc, vous donne des informations précieuses et fiables sur le marché du travail valaisan. Il se trouve à ce chemin d’accès :
Indic’Emploi : G:\OSPVR\1. Généralités\Prestations\2. Aide-au-placement\Marché du travail
Comme chaque année, l’Organisation pour la formation commerciale fiduciaire/immobilière propose des manifestations d’informations online aux jeunes qui souhaitent en savoir plus sur ce secteur.
Et les prochaines séances d’information auront lieu en ligne
– le mercredi 4 octobre 2023 de 14h à 16h30 par Zoom
– le mercredi 7 février 2024 de 14h à 16h30 par Zoom
Il y a celles et ceux qui bifurquent une, voire plusieurs fois, après leur entrée à l’Université. La question se pose aussi chez les apprentis, à la différence qu’il faut, dans ce cas, rompre un contrat et espérer trouver une nouvelle entreprise formatrice.
L’OFS a suivi le parcours de près de 53’000 personnes en formation professionnelle sur cinq années.
Il en ressort que le risque de résilier un contrat d’apprentissage est plus grand chez les jeunes issus de l’immigration, en particulier celles et ceux qui ne sont pas nés en Suisse.
Les apprentis et apprenties du canton de Genève ont 38% de risque d’interrompre leur formation en cours de route. Un taux élevé également chez ceux qui se lancent dans le domaine des soins de beauté-coiffure (33%) et de l’hôtellerie-restauration (31%).
Plus de la moitié des résiliations (55%) se produisent durant la première année de formation, d’où l’importance pour le jeune d’être bien orienté afin de choisir une voie qui lui convient.
Pour autant, la grande majorité des jeunes ne décroche pas: 80% de celles et ceux concernés par une résiliation anticipée ont recommencé une formation professionnelle initiale par la suite.
Pour lire l’article complet ou écouter le sujet de la Matinale : RTS
Le Service de promotion de l’éducation de l’EPFL et l’Académie suisse des sciences techniques SATW co-organisent un colloque, gratuit et bilingue français-allemand (avec traduction simultanée), le samedi 23 septembre 2023 au Rolex Learning Center. Cette nouvelle édition sera consacrée aux défis en matière d’éducation pour préparer la relève aux métiers de demain.
Par plus de 40 degrés sur le chantier sédunois de Champsec, la première pierre du campus du Pôle Santé a été posée mardi en fin d’après-midi, à Sion.
Le bâtiment est situé à proximité de l’Hôpital du Valais et de la Clinique romande de réadaptation SuvaCare. Sur quatre étages et avec une surface au sol de 6600m2, le campus offre près de 25 mille m2 pour les formations, la recherche et le développement dans la santé et le social.
Le campus rassemblera les compétences de la HES-SO Valais-Wallis notamment ses filières en soins infirmiers et éducation de l’enfance ainsi que celles de l’EPFL, de la Fondation The Ark, de l’Observatoire valaisan de la santé et de SpArk, le centre d’excellence dans les sciences et technologies du mouvement.
Les apprenti-es étaient plus de 8000 en Valais à faire leur retour en classe aujourd’hui… Et dans la palette de métiers proposés, il en est certains qui attirent plus que d’autres.
Témoignage d’une jeune apprentie et interview de Tanja Fux sur Canal 9.
En Suisse, 30% de la population active se sent émotionnellement épuisée au travail. A l’heure de la rentrée, « Ça change quoi pour vous? » revient sur les lourdes conséquences que cela implique sur le bien-être des gens, sur la santé publique et sur l’économie.
Travail et stress sont toujours allés de pair. Si le terme de burn-out est né en 1969, le syndrome a été conceptualisé au début des années 80, surtout dans les professions de la santé et les métiers du « care », avant d’être élargi à tous les secteurs. Aujourd’hui en Suisse, la prévalence de burn-out dans la patientèle se situe entre 6 et 9 % selon Unisanté.
Le stress au travail a coûté l’an dernier à l’économie suisse quelque 6,5 milliards de francs, selon le Job Stress Index 2022 de Promotion Santé Suisse.
Tout le monde cherche donc la baguette magique. Parmi ces outils, les « chief happiness officer », autrement dit les responsables du bonheur. Mais ces gourous ayant pour mission de nous encourager à améliorer notre performance au travail a également un côté inquiétant : La rhétorique qu’il y a dans ces formations, dans ces intervenants en entreprises, reporte la responsabilité du stress uniquement sur l’individu et pas sur un questionnement autour du contexte de travail et l’émergence de ce stress.
Pour la rentrée scolaire, le centre Mcentral de Monthey désire répondre à une problématique actuelle, celle de l’apprentissage en perte de vitesse. De nombreuses entreprises, dont CIMO, Syngenta, Sun Chemica, Coop et encore l’association des RH Valais, sont à la recherche de jeunes apprenants. L’idée est alors de créer une synergie entre le monde professionnel et les futurs apprenti-e-s de notre région, lors de la rentrée scolaire et d’organiser une manifestation destinée à informer les jeunes du CO.
C’est une nouvelle année scolaire très chargée qui va commencer cette semaine pour le Centre pour le développement et la thérapie de l’enfant et de l’adolescent. Les demandes sont telles depuis la pandémie que les délais d’attente s’allongent considérablement.
Le CDTEA, qui dépend de l’Etat du Valais, emploie plus d’une centaine de psychologues, logopédistes ou psychomotriciens. Chaque année, 5500 enfants, adolescents ou familles sont suivis dans ses locaux.
Mais les besoins se sont accrus depuis la pandémie de coronavirus. Entre 2019 et 2021, les signalements ont augmenté de 13 à 15%, selon la directrice du CDTEA Romaine Schnyder. « On n’arrive actuellement pas à faire face à ça », reconnait-elle.
Par conséquent, les temps d’attente s’allongent au CDTEA. Ils vont de quelques semaines à plusieurs mois selon les régions. Actuellement, c’est à Monthey que la situation est la plus critique, avec des délais qui peuvent atteindre huit mois.
Le canton est conscient du problème. Des ressources supplémentaires ont été attribuées au CDTEA de manière temporaire jusqu’à la fin de l’année. Elles permettent de faire face à la demande, selon Romaine Schnyder. Elle se fait toutefois du souci pour l’an prochain. Le CDTEA va demander des effectifs en plus dans le cadre du budget 2024. Mais cela va dépendre, in fine, du Conseil d’Etat et du parlement.
Pour lire l’article complet et/ou écouter l’interview de Romaine Schnyder : Rhône FM
Elle fournit des repères parmi la vaste gamme des données sur l’emploi. L’information y est structurée de manière à procurer une vue d’ensemble du marché suisse du travail et des statistiques qui s’y rapportent. Parmi les domaines traités figurent l’emploi, le temps de travail, le chômage, les postes vacants, les aspects dynamiques du marché du travail, ainsi que la structure et les tendances des salaires.
Les formations d’installateur – installatrice solaire CFC et monteur – monteuse solaire AFP seront proposées dans le champ professionnel « enveloppe du bâtiment ». Ces deux professions n’ont pas encore été ajoutées dans la liste officielle du SEFRI, et orientation.ch n’est donc pas à jour (pas de fiche profession et pas d’annonces de places d’apprentissage ou de stage.
Pour répondre à d’éventuelles demandes sur le sujet, vous pouvez vous référer au site Swiss Solar, qui propose une description de ces métiers, les infos pratiques liées à la formation et une liste de futures entreprises formatrices : Apprentissage (swissolar.ch).
Secteur intendance :
Les formations de spécialiste (resp. employé – employée) en hôtellerie CFC (resp. AFP) et de gestionnaire (resp. employé – employée) en intendance CFC (resp. AFP) sont remplacées par une seule formation à deux options de gestionnaire (resp. employé – employée) en hôtellerie-intendance CFC (resp. AFP).
Toutes les infos sont déjà à jour sur orientation.ch.
La HESSO Valais Wallis offre à des jeunes de cycles d’orientation, une immersion dans les métiers de la technique (à Sion), de l’informatique (à Sierre) et de la biologie/chimie (à Viège). L’objectif est d’ouvrir la voie vers ces cursus, tout en cassant les clichés, notamment liés au genre.
A Sion, une trentaine de jeunes de 12 à 15 ans y participent depuis lundi 7 août et jusqu’au jeudi soir, 10 août. Le menu est copieux : de la robotique aux expériences sur le mur même de la Grande-Dixence en guise de plat de résistance, les jeunes découvrent toutes les facettes de la recherche scientifique tout en participant à des expérimentations ludiques.
A Sierre, ce sont une quinzaine de filles qui prennent part à un camp d’informatique ce mercredi.
De plus en plus d’entreprises, en Suisse et à l’étranger, veulent voir leurs employés revenir au bureau. Selon Véronique Kämpfen, directrice de la communication à la Fédération des entreprises romandes, il ne s’agit toutefois pas d’une abolition totale du télétravail. « C’est une sorte de recadrage avec un peu plus de présentiel et un peu moins de télétravail ».
« Certaines grandes entreprises suisses comme les CFF, La Poste, Novartis ou encore Nestlé ont en effet demandé à leurs employés de revenir un peu plus au bureau. » Ce n’est toutefois pas, selon elle, une abolition totale du télétravail. « Il s’agit plutôt d’une sorte de recadrage, avec un peu plus de présentiel et un peu moins de télétravail. » Avant d’ajouter que cette tendance pourrait aussi toucher les plus petites entreprises.
Si l’une des raisons principales avancées pour justifier un retour est la productivité, pour Véronique Kämpfen, c’est plus complexe que cela. « Les chiffres et études à ce sujet sont mouvantes. Les premières études montraient en effet que le télétravail engendrait davantage de productivité de la part des collaborateurs. Alors qu’aujourd’hui, les dernières études montrent l’inverse. »
Selon elle, il ne faut pas adopter une approche générale, mais une approche plus subtile. En fonction, notamment, des profils des collaborateurs et des tâches qui peuvent être déléguées en télétravail.
Quoi qu’il en soit, pour que le télétravail soit efficace et reste productif, il faut qu’un certain nombre de mesures soient mises en place au sein de l’entreprise, insiste la directrice de la communication à la Fédération des entreprises romandes.
Pour lire l’article complet et voir les interviews : RTS Info
Selon les chiffres du Secrétariat d’Etat à l’Economie (SECO) publiés lundi, le taux chômage en Suisse reste bas (1,9%). Pourtant, le nombre de personnes inactives dans l’hôtellerie et la restauration est élevé (3,7%).
Selon une enquête publiée l’été dernier par la fédération Gastrosuisse, plus d’un tiers des restaurants peinent à trouver du personnel. Mais les attentes des employés ne répondent pas toujours à celles des employeurs, a analysé mercredi dans La Matinale Lionel Fontaine, directeur pour la Suisse de Hotelis, société spécialisée dans le recrutement et la formation pour la restauration et l’hôtellerie.
« Typiquement, un hôtel peut avoir besoin de spécialistes qui vont souvent devoir travailler le matin jusqu’à 14h et de 17h jusqu’à 23h. C’est ce que l’on appelle l’horaire ‘coupure’. Aujourd’hui, la plupart des personnes qui sont au chômage recherchent plutôt un horaire continu », explique Lionel Fontaine.
Mais ces métiers restant éprouvants, de nombreux professionnels cherchent à se reconvertir. « Plus le temps passait, plus la masse de travail augmentait », témoigne Aline, une ancienne femme de chambre d’un grand hôtel genevois.
La pandémie a encore amplifié le phénomène de reconversion. De nombreux employés ont goûté aux soirées et aux week-ends de libre durant la fermeture obligatoire des établissements publics, des avantages qu’ils veulent retrouver en changeant d’emploi.
Pour lire l’article en entier et voir les interviews : RTS Info
Le nombre de frontaliers a augmenté en une année partout dans le pays, selon les dernières données de l’Office fédéral de la statistique (OFS). Cette force de travail est même nécessaire au bon fonctionnement des entreprises du canton, selon l’Association Valaisanne des Entrepreneurs (AVE).
Ils sont 5’146 à résider à l’étranger et à travailler en Valais, tous domaines d’activités confondus, selon les dernières statistiques de l’OFS. En juin 2022, ce chiffre ne s’élevait encore qu’à 4’430. En une année, l’augmentation est d’un peu plus de 16%. Plus de la moitié de ces travailleurs au permis G proviennent d’Italie : 2’807 travailleurs frontaliers au mois de juin de cette année contre 2’335 il y a un an. La France arrive juste après, passant de 2’023 à 2’252 durant la même période.
Pour Chiara Meichtry, sous-directrice de l’AVE, l’Association Valaisanne des Entrepreneurs, les frontaliers sont même une force de travail nécessaire au bon fonctionnement des entreprises de la construction du canton. « Ce n’est pas uniquement dû à des raisons conjoncturelles mais aussi à des raisons structurelles parce que la construction est un des acteurs principaux de la transition énergétique notamment ». Et avec le temps, les défis ne feront que s’accumuler, selon elle.
Mais qui dit augmentation du nombre de frontaliers ne dit pas forcément intégration de ces derniers. L’AVE est d’ailleurs en train de réfléchir à une solution. Une formation qui prendrait la forme d’un cours de langue accéléré et qui s’adresse notamment à toutes les personnes allophones. « Il s’agit de proposer des cours de langue avec une composante métier. C’est-à-dire, axer les cours sur le vocabulaire de la construction », précise la sous-directrice de l’AVE. Ces cours intensifs doivent permettre d’atteindre les niveaux requis pour entrer dans une filière CFC ou AFP. De cette manière, l’AVE a bon espoir qu’à terme, les travailleurs frontaliers s’installent durablement dans le canton.
Chiara Meichtry-Gonet précise également qu’aujourd’hui, l’heure est à la discussion entre les différents partenaires sociaux et l’Etat du Valais pour la mise en place de cette formation. Selon elle, le cours de langue devrait devenir réalité à la rentrée 2024.
Pour écouter l’interview de Chiara Meichtry-Gonet : Rhône FM
La crèche nurserie des châteaux à Sion annonce une rupture de contrat d’apprentissage pour cette rentrée d’août 2023 qui libère une place d’ASE remise sur or.ch
En juin 2020, le Conseil suisse d’accréditation a décidé d’accréditer UniDistance Suisse en qualité d’institut universitaire au sens de la loi fédérale sur l’encouragement des hautes écoles (LEHE) sous réserve de six conditions. UniDistance Suisse avait alors un délai de deux ans pour accomplir ces conditions. Lors d’une visite sur site, à Brigue, un groupe d’expert-e-s a été chargé de vérifier la réalisation de ces conditions. Fin juin 2023, le Conseil suisse d’accréditation a rendu sa décision positive.
Lors de la discussion sur place, les expert-e-s ont souligné qu’ils et elles considéraient non seulement toutes les conditions comme remplies, mais qu’en outre, le degré de réalisation était dans l’ensemble extrêmement convaincant.
« Il s’agit d’une reconnaissance bien méritée et digne de l’énorme travail de développement planifié et réalisé par UniDistance Suisse à tous les niveaux et dans toutes les équipes » précise Stefan Bumann, Président de l’institut universitaire.
Cette accréditation est valable jusqu’au 25 juin 2027.
La volonté du gouvernement et du parlement du Canton du Valais de se doter, avec UniDistance Suisse, d’une université à l’horizon 2027 a été clairement inscrite dans les objectifs stratégiques cantonaux pour la période 2022-2025. Dans ce contexte, le Conseil d’État a défini l’accompagnement d’UniDistance Suisse vers l’accréditation en tant qu’université en 2027 comme un projet prioritaire.
Cette année, 46 jeunes ont décroché un diplôme au centre ORIF de Sion. Les métiers de la vente et du service en restauration restent les plus prisés. Une section logistique a été ouverte l’an dernier. Et dès 2024, une formation de monteur solaire s’ajoutera au catalogue des métiers proposés.
Une étude de l’Institut Gottlieb Duttweiler se penche sur la pénurie de personnel qualifié et propose différentes mesures pour y faire face: incitations financières, modèles de travail flexibles, subventions pour places de crèches, etc. Elle comprend une boîte à outils qui répertorie des procédures pouvant être mises en œuvre dans tous les secteurs. L’étude a été commandée par le groupe Migros.
« Introduite il y a cinq ans, la formation obligatoire jusqu’à 18 ans n’a pas encore complètement gommé le problème de l’abandon scolaire. Entre hausse des ruptures chez les majeurs et embouteillage dans la voie d’apprentissage, l’avenir de certains jeunes est incertain. »
Le CSFO organise la prochaine journée nationale de l’orientation le jeudi 14 mars 2024 à Bienne. Ce sera l’occasion de reprendre un point central de la stratégie pour l’orientation: les compétences de conception de carrière. La journée se focalisera sur les résultats des universités de Berne et de Lausanne, qui seront élaborés d’ici la fin de l’année, et donnera l’occasion d’en discuter de manière approfondie.
Nous encourageons tous les collaborateurs et collaboratrices intéressé-e-s à réserver la date. Les détails sur le contenu suivront début novembre dans le cadre de la publication du programme de formation continue en orientation 2024.
(pour info, la séance secteur Ecoles prévue initialement ce jour-là sera bien évidemment déplacée (au mardi 5 mars matin).
Plus d’un·e ayant·e droit sur cinq en Suisse renonce à des soutiens publics tels qu’aide sociale ou subsides LaMal. Ce non-recours aux droits sociaux, aux origines multiples, génère instabilité et précarité.
Le coup de gueule revient, aussi ponctuellement qu’inlassablement, dans certains discours populistes : les abus à l’aide sociale constitueraient un fléau. Les chiffres, eux, montrent une autre réalité. En Suisse, comme dans les pays voisins d’ailleurs, la part des habitant·es qui ne touchent pas les aides publiques auxquelles elles ou ils auraient droit dépasse de loin celle des personnes réclamant un soutien à tort. Selon une étude de 2016 d’Oliver Hümbelin, professeur à la Haute école spécialisée de Berne, portant sur le canton de Berne, le non-recours à l’aide sociale concernerait plus d’un quart de la population. Une autre recherche réalisée cinq ans plus tard par le même auteur, concernant Bâle- Ville, met pour sa part le doigt sur un taux de non-recours de près de 30% au niveau des prestations complémentaires AVS et d’environ 20% pour les subsides LaMal.
C’est un travail invisible, gratuit et pourtant très utile en entreprise: le travail émotionnel. La plupart du temps, il est pris en charge par des femmes. Une situation qui, selon les experts, s’explique notamment par l’éducation différenciée que reçoivent les filles et les garçons.
Une nouvelle boutique de vêtements seconde main un peu particulière. Le projet a été lancé avec les jeunes de l’OSEO Valais. Son but : développer des compétences dans les métiers de la vente, pour construire leur projet professionnel.
La qualité au service de la CII du Valais
La Cellule InterServices, une affaire de partenariats
Nouveau site web pour la CII des Grisons
Journée CII dans le canton de Schwytz
Rapports d’activité et rapports annuels de la CII
L’inclusion, un important facteur de réussite pour les entreprises
Travail 4.0 – The Future of Work
Dettes : causes et conséquences
Qualification des adultes : synthèse de trois études récentes
Le programme fédéral de préapprentissage d’intégration pérennisé
Accès des personnes sourdes et malentendantes à la formation professionnelle
« viamia »: lancement d’une campagne publicitaire nationale
Baromètre des transitions : les parents jouent un rôle majeur dans le choix de formation de leurs enfants
Réduction de l’horaire de travail pour les formateurs
Révision du profil de qualification et des conditions de réussite
Événements
Une maturité gymnasiale devrait durer à l’avenir au moins quatre ans. Le Conseil fédéral a adopté mercredi la révision totale des bases légales correspondantes.
La révision actualise trois textes de 1995 régissant la maturité gymnasiale. La Conférence des directeurs cantonaux de l’instruction publique l’a aussi approuvée la semaine dernière.
Il s’agit de garantir la qualité de ce diplôme, sa compatibilité dans toute la Suisse ainsi que l’accès sans examen aux hautes écoles universitaires et pédagogiques, relève le gouvernement.
Les compétences spécifiques de base et en mathématiques seront renforcées. Le choix des disciplines fondamentales – comme l’économie et le droit, ou l’informatique – et des disciplines spécifiques sera étendu. Et les échanges et la mobilité promus. Les critères de réussite resteront inchangés.
Si l’entrée en vigueur de la révision est prévue pour le 1er août 2024, son application effective dans les cantons où la Maturité s’obtient pour le moment en 3 ans pourrait prendre davantage de temps. Elle interviendra après la révision du plan d’études cadre de la CDIP. Celle-ci lancera une audition officielle cet automne.
En Suisse romande, le projet a pourtant fait grincer des dents, en particulier dans les cantons de Neuchâtel, de Vaud et du Jura (lire encadré). Ces derniers connaissent un modèle sur trois ans. Genève et Fribourg proposent déjà le gymnase (ou collège, voire lycée dans certains cantons; la terminologie varie) en quatre ans. En Valais, c’est cinq ans, mais comme la Confédération souhaite quatre ans au minimum sans avoir défini de maximum, le canton n’a pas l’intention de changer son mode de faire.
Au gymnase de Bienne et du Jura bernois, la préparation à la maturité (pour la formation monolingue) se fait sur trois ans au gymnase proprement dit et quatre ans si l’on tient compte de la première année accomplie dans le cadre de l’école secondaire.
Le communiqué de presse pour annoncer le nouveau cours Carrière au féminin, créé par notre Office
sur mandat de l’Office cantonal de l’égalité et de la famille a été diffusé ce matin à 10h00 :
Le cours, destiné aux femmes qui souhaitent ou doivent reprendre une activité
professionnelle après une interruption pour raisons familiales, débutera le 19 septembre
et sera animé par Valérie Romailler et Katia Montandon.
Des brochures Carrière au féminin sont disponibles dès à présent dans les CIO.
La grande majorité des étudiants du secondaire deux ont réussi leurs examens. Avec un taux de réussite de plus de 97% dans les collèges valaisans, le service de l’enseignement se dit « très satisfait ».
Cette année 2022-2023 contraste avec celle de l’exercice précédent qui avait vu son taux d’échec plus que doublé dans certaines classes par rapport à celui de cette année scolaire. Souvenez-vous, l’année passée, 6.2% des étudiants du collège des Creusets à Sion avaient échoué leurs épreuves. Pire encore en quatrième année, près d’une personne sur quatre n’avait pas réussi son année.
Comment financer une carrière sportive? Les possibilités sont multiples. Une société privée, active dans le domaine médical, propose une variante, sous forme de bourse.
Affidea Sport Academy, c’est le nom de ce programme, ouvert à n’importe quel Romand, pour autant qu’il soit dans la bonne tranche d’âge et qu’il pratique déjà son activité sportive dans le cadre d’un centre de performance reconnu. La société active dans le domaine de l’imagerie médicale, et fortement implantée en Valais, veut nouer avec le ou la future athlète choisie, un véritable partenariat pour l’accompagner, pendant au moins 3 ans, dans sa carrière naissante.
En Suisse, de nombreuses entreprises manquent de personnel dans pratiquement tous les secteurs. Cette pénurie de main-d’oeuvre qualifiée devrait encore s’aggraver à l’avenir, craignent Economiesuisse et ses partenaires, qui cherchent des solutions.
C’est avant tout l’évolution démographique qui préoccupe les associations économiques: dans les années à venir, les départs à la retraite des travailleurs et travailleuses issus de la génération dite du « baby-boom » ne seront pas compensés par l’arrivée de jeunes sur le marché du travail, a averti le président d’Economiesuisse Christoph Mäder lundi devant les médias.
Même si le pays ne crée pas de nouveaux emplois, il devrait manquer 431’000 personnes sur le marché du travail d’ici 2040, poursuit-il, soit environ 8% de la population active.
Ce phénomène n’est pas un défi uniquement pour le marché du travail, mais également pour le financement de la prévoyance vieillesse. Les associations ont calculé que les charges augmenteront de 2000 francs par personne et par an d’ici à 2050.
Vous y trouverez entre autres des exemples de bonnes pratiques d’autres cantons, le nombre de consultations par canton, leur évolution par année, les visites d’orientation.ch, etc.
Le World Economic Forum publie chaque année un rapport sur l’avenir de l’emploi. L’édition 2023 suggère que près d’un quart des emplois (23 %) devraient changer au cours des cinq prochaines années, avec une croissance de 10,2 % et un déclin de 12,3 %. Selon les estimations des 803 entreprises interrogées dans le cadre du rapport, les employeurs prévoient des créations à hauteur de 69 millions et des suppressions à hauteur de 83 millions sur les 673 millions d’emplois correspondant à l’ensemble des données, soit une diminution nette de 14 millions d’emplois, ou 2 % des emplois actuels.
Les macro-tendances, y compris la transition verte, les normes ESG et la localisation des chaînes d’approvisionnement, sont les principaux moteurs de croissance de l’emploi. Et les défis économiques tels que l’inflation élevée, le ralentissement de la croissance économique et les pénuries d’approvisionnement constituent la plus grande menace. L’adoption croissante des technologies et l’intensification de la numérisation entraîneront un important taux de roulement sur le marché du travail, avec un effet positif net global sur la création d’emplois.
Le calendrier académique sera modifié et débutera une semaine plus tôt, soit en semaine 37. La date du début des cours sera donc fixée au lundi 9 septembre 2024. Cette décision a été motivée par l’introduction d’une semaine de pause dans le courant du semestre d’automne.
Le Service de promotion de l’éducation de l’EPFL et l’Académie suisse des sciences techniques SATW co-organisent un colloque, gratuit et bilingue français-allemand (avec traduction simultanée), le samedi 23 septembre 2023 au Rolex Learning Center. Cette nouvelle édition sera consacrée aux défis en matière d’éducation pour préparer la relève aux métiers de demain.
Selon de nombreuses études, la majorité des professions de l’année 2030 ne sont pas encore connues aujourd’hui. Cela pose de grands défis à notre enseignement scolaire. L’Académie suisse des sciences techniques SATW et le Service de Promotion de l’Education de l’EPFL vous invitent à participer au Colloque : former pour le futur au Rolex Learning Center de l’EPFL à Lausanne. Ce colloque bilingue (allemand-français avec traduction simultanée) présentera des idées et des impulsions sur la manière dont la prochaine génération peut être mieux préparée aux professions de demain.
Les points forts du programme sont les suivants :
Le keynote d’Elpida Makrygianni, responsable de l’engagement éducatif à l’University College London, Royaume-Uni, sur le thème : Renforcer et diversifier le marché du travail dans le domaine des STEM.
Interventions courtes sur les compétences transversales et les nouveaux paradigmes :
Klara Sokol (Education21): Éducation et développement durable
Gerhard Andrey (Agence Liip): Éducation et industrie
Kathryn Hess Bellwald (EPFL): L’avenir de l’éducation
Le programme de l’après-midi propose une sélection d’ateliers sur différents thèmes d’actualité et des visites guidées de différents espaces du campus de l’EPFL.
Dans le Programme détaillévous trouverez toutes les informations sur ce colloque gratuit.
Le site euroguidance.eu a pour but de proposer des échanges d’informations entre professionnels de l’orientation en Europe. Vous y trouverez par exemple les descriptifs des fonctionnements des services d’orientation pour chaque pays ou des good practices de nos voisins pouvant vous donner des idées dans votre pratique.
Le site euroguidance-formation.org propose des cours online aux professionnels de l’orientation européens. Disponibles dans toutes les langues.
Le SANU débute une nouvelle volée de la formation « Conseiller-ère en environnement » à Lausanne le 18 août prochain. Cette formation prépare à l’examen du Brevet fédéral de « Conseiller-ère en environnement » et bien que le délai d’inscription soit passé, il informe qu’il reste encore des places disponibles.
Pour se réorienter dans des métiers liés à l’environnement – lien sur les pages internet : www.sanu.ch/cycle-de-formation
Le baromètre des transitions est une enquête pointue organisée par le SEFRI deux fois par an.
Le baromètre montre les métiers qui attirent le plus les jeunes, les métiers en besoin de main d’œuvre (hébergement, restauration et construction en tête), le nombre de places annoncées par secteur. Il souligne aussi le fait que la formation par apprentissage reste très largement majoritaire en Suisse (deux tiers des choix des jeunes sortant de l’école obligatoire) et traite du fait que les parents ont le rôle prépondérant dans le choix des jeunes.
SEFRI – Baromètre des transitions : les parents jouent un rôle majeur dans le choix de formation de leurs enfants
Berne, 01.06.2023 – Une extrapolation montre qu’en avril 2023, sur les près de 92 000 jeunes âgés de 14 à 17 ans se trouvant confrontés au choix de leur formation, 63 % ont déjà trouvé une solution qui leur convient. Le nombre de places d’apprentissage proposées par les entreprises interrogées s’élevait, comme l’année dernière, à environ 77 000. Cette année, les jeunes ont également été interrogés sur le rôle joué par leurs parents dans le choix de la profession et de la formation. Ceux-ci se révèlent être les interlocuteurs les plus importants, avant les enseignants. Ces informations, ainsi que d’autres faits, figurent dans le dernier baromètre des transitions, enquête réalisée par l’institut de sondage gfs.bern sur mandat du Secrétariat d’État à la formation, à la recherche et à l’innovation (SEFRI).
Secrétariat d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation
Chères conseillères en orientation, chers conseillers en orientation,
C’est avec plaisir que nous vous transmettons notre newsletter 2023 avec les actualités et informations des formations de la santé, du social et de l’intendance : Newsletter orienteurs 2023
Nous restons à disposition pour tout renseignement complémentaire.
La rencontre du réseau Euroguidance se déroule actuellement à Stockholm.
Dans ce cadre, l’attention a été attirée sur un webinaire intéressant et court sur l’outil Europass.
Il présente le nouvel outil Europass en ligne tel qu’il peut être utilisé par les professionnel-le-s de l’OPUC. Cet outil permet aux clients de préparer leurs compétences, qualifications et expériences de manière à ce qu’elles soient comprises dans toute l’Europe.
Le webinaire est gratuit et s’adresse aux conseillères et conseillers qui soutiennent des clients ayant des demandes de formation et d’emploi dans les pays européen.
Thème : Europass for career guidance : Launching the eCourse on Europass
Date : 12 juin de 11h à 11h45
Inscription : jusqu’au 10 juin ; les personnes qui s’inscrivent reçoivent gratuitement le lien vers le webinaire.
Europass est disponible sur www.europass.eu en tant que portail en ligne avec un ensemble gratuit d’outils et d’informations en ligne pour aider ses utilisateurs dans leur apprentissage tout au long de la vie et la gestion de leur carrière. Les utilisateurs enregistrés du portail ont accès à différentes fonctions de gestion de carrière, telles que l’éditeur de CV Europass, l’éditeur de lettres de motivation, la bibliothèque Europass, le gestionnaire de candidatures, le test d’auto-évaluation des compétences numériques, etc.
Antenne suisse Euroguidance
Les personnes intéressées peuvent sans autre s’inscrire pour ce webinaire.
«Les débuts à l’uni ont été durs» Le Syrien Moumen, réfugié en Valais depuis 2014, se bat pour réussir
Moumen Tabekh, qui ne parlait pas un mot de français en arrivant en Valais, s’accroche à son rêve de devenir professeur de sciences. Il confie comment il vit sa première année universitaire à Lausanne tout en se battant pour obtenir une bourse.
RTS Info : En Chine, le marché du travail est bouleversé par l’intelligence artificielle
La Chine veut dépasser les États-Unis dans la course à l’IA pour devenir le numéro un mondial d’ici à 2030. Le marché du travail chinois est d’ores et déjà bouleversé: dans plusieurs domaines ou certaines entreprises, l’IA remplace certains salariés, voire même des dirigeants.
Ce n’est ni un jeu vidéo, ni de la science-fiction: à Fuzhou, dans le sud-est de la Chine, l’entreprise technologique Netdragon est dirigée par Tang Yu, une femme virtuelle, créée par les employés eux-mêmes.
« On l’a imaginée pour que les employés la trouvent sympathique et qu’en même temps elle montre le sérieux d’une dirigeante », explique dans le 19h30 Ge Yan, le responsable technique de la société.
Tang Yu est une intelligence artificielle. Elle est donc disponible 24 heures sur 24. Cette patronne a sous ses ordres 6000 salariés, qui n’ont aucun secret pour elle. Horaires, projets, performances: elle sait tout d’eux.
« Tang Yu bonjour, quel est mon bilan ce mois-ci? » lui demande Ge Yan. « Bonjour camarade », répond-elle. « D’après le règlement, au vu de tes données, de tes résultats et de tes évaluations de compétences, tu mérites une augmentation », lui annonce-t-elle.
Pour lire l’article complet et voir le sujet du 19.30 : RTS Info
A bon Entendeur du 16 mai 2023, sur la RTS:
Pour ados ou pour adultes, les séjours linguistiques promettent une expérience inoubliable, entre apprentissage et découverte culturelle. Hélas, la réalité ne correspond pas toujours à ce qui est vendu : entre encadrement défaillant, familles d’accueil inappropriées et cours de langues inadaptés, les témoignages d’élèves mécontents se multiplient. L’enquête d’A bon entendeur.
La patinoire de Fribourg s’est transformée en centre de recrutement d’un nouveau genre : un concept d’entretiens professionnels sans CV a réuni douze grandes entreprises et 90 candidats. Ils ne sont pas les seuls à vouloir contourner les traditionnels dossiers de candidatures…
Au 1er trimestre 2023, le nombre de personnes actives occupées en Suisse s’est accru de 2,1% par rapport au même trimestre de 2022. Durant cette même période, le taux de chômage au sens du Bureau international du Travail (BIT) s’est réduit, passant de 4,6% à 4,3% en Suisse et de 6,2% à 6,0% dans l’Union européenne.
Au 1er trimestre 2023, la Suisse comptait 5,238 millions de personnes actives occupées, soit 2,1% de plus qu’à la même période de 2022. Parmi celles-ci, le nombre d’hommes a progressé de 2,3% et le nombre de femmes de 1,9%. En termes d’équivalents plein temps (EPT), la hausse entre le 1er trimestre 2022 et le 1er trimestre 2023 a été de 2,6% (hommes: +2,1%; femmes: +3,3%). Après correction des variations saisonnières, le nombre d’actifs occupés et le nombre d’EPT ont tous deux augmenté de 1,2% entre le 4e trimestre 2022 et le 1er trimestre 2023.
Main-d’œuvre suisse et main-d’œuvre étrangère
Entre les 1ers trimestres 2022 et 2023, le nombre d’actifs occupés a augmenté tant chez les personnes de nationalité suisse (+0,6%) que chez celles de nationalité étrangère (+5,2%). Parmi les actifs occupés étrangers, la progression a été la plus forte chez les titulaires d’une autorisation de séjour de courte durée (livret L, depuis moins de 12 mois en Suisse: +16,0%). Venaient ensuite les titulaires d’une autorisation de séjour (livret B ou L, en Suisse depuis 12 mois ou plus: +9,2%), puis les frontaliers (livret G: +6,2%) et finalement les titulaires d’une autorisation d’établissement (livret C: +1,3%).
Chômage en Suisse et en Europe
Au 1er trimestre 2023, la Suisse comptait 216 000 personnes au chômage selon la définition du Bureau international du Travail (BIT), soit 11 000 de moins qu’un an auparavant. Ces chômeurs représentaient 4,3% de la population active, soit une part inférieure à celle observée au 1er trimestre 2022 (4,6%). Après correction des variations saisonnières, le taux de chômage a diminué de 0,3 point de pourcentage par rapport au 4e trimestre 2022, passant de 4,4% à 4,1%. Entre le 1er trimestre 2022 et le 1er trimestre 2023, le taux de chômage s’est contracté aussi bien au sein de l’UE (passant de 6,2% à 6,0%) que dans la zone euro (ZE20: de 6,8% à 6,6%).
Chômage des jeunes
En Suisse, le taux de chômage des jeunes (de 15 à 24 ans) au sens du BIT est passé de 7,2% à 7,8% entre le 1er trimestre 2022 et le 1er trimestre 2023. Sur la même période, il a également progressé au sein de l’UE (de 14,2% à 14,4%) et dans la zone euro (ZE20: de 14,3% à 14,4%).
Chômage selon diverses caractéristiques
Entre les 1ers trimestres 2022 et 2023, le taux de chômage au sens du BIT a reculé aussi bien pour les hommes (de 4,6% à 4,2%) que pour les femmes (de 4,7% à 4,5%). Il s’est plus fortement contracté chez les personnes de 50 à 64 ans (de 4,3% à 3,7%) que chez celles de 25 à 49 ans (de 4,5% à 4,1%). Le taux s’est réduit chez les personnes sans formation postobligatoire (de 9,3% à 8,4%) et chez celles avec une formation de degré secondaire II (de 4,4% à 3,8%), mais a progressé chez les personnes avec une formation de degré tertiaire (de 3,3% à 3,5%). Le taux de chômage a diminué tant chez les personnes de nationalité suisse (de 3,4% à 3,2%) que chez celles de nationalité étrangère (de 7,9% à 7,3%). Au 1er trimestre 2023, le taux de chômage au sens du BIT s’élevait à 5,7% chez les ressortissants de l’UE/AELE et à 11,0% chez les personnes en provenance de pays tiers.
Durée du chômage
Au 1er trimestre 2023, le nombre de chômeurs de longue durée au sens du BIT (un an ou plus) s’est établi à 72 000, en baisse de 22 000 personnes par rapport au 1er trimestre 2022. La part des chômeurs de longue durée dans l’ensemble des chômeurs s’est réduite, passant de 41,6% à 33,5%. La durée médiane du chômage s’est raccourcie de 228 à 175 jours.
Les jeunes désirant s’inscrire au SeMo n’ont plus la nécessité de se présenter au guichet de l’ORP de leur région, ils peuvent le faire en ligne en remplissant le formulaire figurant sur :
Sur Orientation.ch, en page 13, la liste des métiers actuels dans les domaines de l’environnement, écologie et durabilité : Nature, environnement (orientation.ch)
En réalité, les besoins se présentent dans beaucoup de domaines, notamment les métiers de l’agriculture, du bâtiment, de la gestion forestière, de l’électricité, de l’informatique, etc.
Les artistes et acteurs culturels du canton, toutes disciplines confondues, se fédèrent sous une nouvelle bannière. Pour avoir plus de poids, de voix, et faire du lobbyisme politique, sous le nom de KARTEL.
TANDEM OU QUAND LA CULTURE DRAGUE LE POLITIQUE
C’est le premier projet commun estampillé Kartel. Tandem a germé dans la tête de Jennifer Skolovski qui s’est inspirée d’un dispositif déployé avec succès dans le canton de Berne. Depuis dix ans, acteurs culturels et politiciens entretiennent des liens étroits. Pour gagner en connaissance mutuelle. «A Berne, ces partenariats ont par exemple permis à la Reitschule, le centre culturel alternatif, de continuer à exister.» Début janvier, 27 tandems ont été lancés en Valais. «Tous les partis sont représentés», se félicite l’instigatrice qui aimerait encore débaucher davantage de députés. «On a des artistes sur liste d’attente.»
Conseiller général des Verts à Sion et député suppléant, Sébastien Carruzzo a découvert l’écrivaine de polars germanophone Christine Bonvin. «On s’est vus deux fois. Ce fut très spontané.» Sarah Constantin, députée PS et conseillère communale à Nendaz, a pu partager la vision d’une autre femme de lettres, Anne-Catherine Biner. «Une expérience enrichissante que je compte bien poursuivre.»
De son côté, Arnaud Meilland a pu sensibiliser le député PLR montheysan Fabien Girard aux réalités de son métier d’historien et vice versa. «Le tandem permet vraiment d’entrer dans l’univers de l’autre.» Un premier bilan de l’opération sera dressé courant juin via une rencontre de tous les tandems valaisans mais l’ambition est de la pérenniser en touchant les élus communaux.
L’article du Nouvelliste revient sur le guide d’écriture inclusive publié en début d’année par la Chancellerie fédérale, guide dans lequel elle préconise l’utilisation … du masculin.
Extraits:
« Le genre grammatical qui inclut, c’est le masculin ou genre non marqué. Le fait qu’il puisse désigner des individus « mâles » et des ensembles mixtes relève du principe général de la langue. »
« Le genre non marqué inclusif permet de désigner des groupes mixtes sans introduire une binarité dans le discours qui a pour effet d’exclure les personnes non incluses dans le modèle homme/femme. »
Exemples:
Joséphique Wenger exerce la fonction de président de la Confédération en 2023.
Albine Blanc occupe le poste de recteur de l’université.
Mercredi après-midi 10 mai, Syngenta organise une demi-journée découverte des métiers de la chimie sur son site de Monthey. Ouverte aux élèves dès 11 ans.
Pour donner suite au « Save the date » envoyé en fin d’année dernière, c’est avec plaisir que nous vous communiquons aujourd’hui le programme définitif de la prochaine journée romande de l’ASOU. Comme annoncé, nous avons souhaité élargir un peu notre horizon romand pour vous présenter des filières d’études de la région bernoise qui intéressent bon nombre de nos clientes et clients.
La journée se tiendra le mardi 6 juin 2023 et permettra de découvrir
les filières spécifiques de la Haute école des sciences agronomiques, forestières et alimentaires HAFL à Zollikofen le matin
l’Université de Berne, et en particulier la médecine vétérinaire, l’après-midi.
Les interventions se feront très majoritairement en français. Le programme détaillé se trouve en pièce jointe et les inscriptions sont ouvertes sous https://www.agab.ch/fr . Il est possible de s’inscrire jusqu’au vendredi 19 mai. Nous nous réjouissons de vous accueillir nombreuses et nombreux !
Nous vous remercions aussi de faire circuler cette information autour de vous auprès des personnes susceptibles d’être intéressées.
Un petit résumé pour les filières de ce secteur très fluctuant, possibles en dual ou en école de métiers ou les deux – Info validée par Mme Mabillard aujourd’hui
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Nous avons procédé à un état des lieux des inscriptions pour les écoles des métiers à l’EPCA et il nous reste encore quelques places disponibles dont :
2 places de boulangers-pâtissiers-confiseurs
3 places de cuisiniers
3 places de spécialiste en restauration
Au niveau des données de contact des fiches écoles, pour toutes les écoles de métiers (cuisiniers, boulangers, spécialistes restauration, communication hôtelière), les coordonnées de Mme Mabillard sont remplacées par le secrétariat de l’EPCA, secretariat@epcasion.ch.
Dans les conditions d’admission pour les professions en école des métiers pour les cuisiniers, boulangers-pâtissiers-confiseurs et spécialistes en restauration, une mention « Avoir son lieu de domicile en Valais ». a été ajoutée (La profession de spécialiste en communication hôtelière est la seule pour laquelle nous acceptons des personnes hors cantons).
Le baromètre des transitions recense les décisions des jeunes en matière de formation à la fin de leur scolarité obligatoire, et évalue la situation sur le marché suisse des places d’apprentissage. Une enquête en ligne est menée chaque année à cet effet auprès des jeunes de 14 à 16 ans et des entreprises comptant au minimum deux employés. Cette enquête est systématiquement réalisée en deux vagues.
45% des jeunes ont commencé une formation professionnelle initiale, 42% une formation générale. Les autres ont voulu ou dû aller vers des solutions intermédiaires.
La voie scolaire concerne de plus en plus de jeunes au fil du temps. La crise du coronavirus a, selon les jeunes interrogés, rendu leur orientation plus difficile.
L’offre des entreprises en matière de places d’apprentissage reste stable par rapport à 2021. 86% des places d’apprentissage ont été attribuées, ce qui correspond aux années précédentes.
A noter que l’enquête ne s’adresse qu’aux jeunes de 14-16 ans qui terminent leur scolarité obligatoire. Or, 43% des places d’apprentissage proposées par les entreprises pour la rentrée 2022 sont occupées par des jeunes de plus de 16 ans, ce qui est considérable.
« S’investir – rencontrer – expérimenter ! » : c’est sous cette devise que nous proposons aux jeunes de découvrir de manière active le monde varié de l’agriculture.
Agriviva (autrefois Horizon Ferme) est une association d’utilité publique à but non lucratif qui offre des places de stage dans des fermes de toute la Suisse à des jeunes depuis plus de 75 ans.
Chaque année, nous permettons à plus de 1000 jeunes d’effectuer un stage sur une exploitation agricole. Dans le ménage, le jardin, l’étable ou les champs, tous mettent la main à la pâte et découvrent ainsi un monde souvent nouveau pour eux, et ont l’occasion d’améliorer leurs connaissances d’une autre langue nationale. D’une durée d’une à huit semaines, les stages peuvent avoir lieu toute l’année. Ils sont réservés à des jeunes âgés de 14 à 24 ans (pour les stages dans une autre région linguistique, l’âge minimum est de 16 ans pour une durée minimale de douze jours).
Les jeunes trouveront les places de stage libres sur notre site web www.agriviva.ch. Ils ont la possibilité de s’inscrire en ligne et de réserver leur place chez la famille qui leur convient.
1200 jeunes face aux métiers de la science et de la technique. Pour la première fois en Suisse, une journée de sensibilisation aux disciplines MINT a eu lieu à l’échelle des cycles d’orientation. C’était à Sion ce jeudi.
Les disciplines MINT comprennent les domaines des mathématiques, de l’informatique, des sciences naturelles et de la technique. Depuis 2007 en Suisse alémanique, et 2012 en Suisse romande, l’Académie suisse des sciences techniques organise des journées appelées Tecday à l’intention des élèves du secondaire II. Ils sont plus de 60’000 jusqu’ici à avoir participé à ces ateliers.
Si la SATW a décidé de lancer ce projet-pilote auprès des 11-15 ans, c’est parce qu’il est aussi important de pouvoir déclencher l’intérêt des élèves à l’heure où ils doivent faire des choix de carrière.
« Aujourd’hui, notre enjeu est vraiment de montrer que ce sont des métiers, variés, intéressants et qui ont aussi un impact sociétal », souligne Edith Schnapper, responsable promotion de la relève à l’Académie suisse des sciences techniques.
Elle précise qu’une étude a été menée pour connaitre l’impact réel de ces journées de sensibilisation sur les élèves. Selon elle, 73% des élèves interrogés ont déclaré que le Tecday avait été utile dans le choix des études. Quatorze pourcents ont même été influencés de manière décisive par ces ateliers.
Mais, note encore Edith Schnapper, il ne suffit pas d’une seule journée pour convaincre un élève de se lancer dans une carrière d’informaticien ou de mathématicien. « Le Tecday fait partie d’une proposition globale des acteurs MINT en Suisse pour favoriser l’intérêt pour les sciences et la technique de manière générale ».
Agriviva (autrefois Horizon Ferme) est une association d’utilité publique à but non lucratif qui offre desplaces de stagedans des fermes de toute la Suisse à des jeunes depuis plus de 75 ans. Nous respectons les conditions légales strictes posées à notre activité. Nous sommes aussi reconnus et soutenus par la Confédération pour notre travail extrascolaire avec les jeunes conforme à la loi sur l’encouragement de l’enfance et de la jeunesse (LEEJ). Le dossier de presse « Agriviva – apprendre pour la vie » disponible sur notre site web, relate les étapes importantes et les différents aspects de notre activité.
Chaque année, nous permettons à plus de 1000 jeunes d’effectuer un stage sur une exploitation agricole. Dans le ménage, le jardin, l’étable ou les champs, tous mettent la main à la pâte et découvrent ainsi un monde souvent nouveau pour eux. Ils prennent conscience de la complexité de la production d’aliments de qualité, ce qui peutcontribuer à une remise en question critique de leur propre comportement d’achat dans l’esprit du développement durable. Nombre d’entre eux saisissent l’occasion d’améliorer leurs connaissances d’une autre langue nationale. D’une durée d’une à huit semaines, les stages peuvent avoir lieu toute l’année. Ils sont réservés à des jeunes âgés de 14 à 24 ans (pour les stages dans une autre région linguistique, l’âge minimum est de 16 ans pour une durée minimale de douze jours).
Les jeunes trouveront les places de stage libres sur notre site web www.agriviva.ch. Ils ont la possibilité de s’inscrire en ligne et de réserver leur place chez la famille qui leur convient.
L’exposition « Même pas peur » ouvre ses portes du 19 au 30 avril à la Belle Usine de Fully. Ludique et interactive, elle présente les dangers naturels et les métiers des spécialistes qui s’y rattachent. Conçue par la section Jura de la SIA, l’exposition est itinérante et s’adresse aux ados et aux familles. > (25) Exposition SIA « Même pas peur » à Fully | LinkedIn
Comme l’année précédente, Syngenta Crop Protection Monthey SA ouvre ses portes aux élèves de 9e, 10e et 11e Harmos pour découvrir les métiers du monde de la chimie.
Syngenta engage chaque année une quinzaine d’apprentis dans 6 corps de métiers différents et tiens donc à promouvoir ses places d’apprentissage.
Raison pour laquelle nous offrons aux jeunes intéressés l’opportunité de s’immerger dans l’univers de l’industrie chimique à travers des ateliers animés par nos formateurs et apprentis.
Cette info est également partagée sur les pages Enseignants de notre site.
Un aperçu des différentes sources de financement, ainsi qu’un budget moyen sont proposés sur orientation.ch : Financer sa formation
Bourses et prêts d’études
Le CFC est reconnu comme donnant potentiellement droit à une bourse ou un prêt. Pour les personnes de moins de 25 ans, la situation financière des parents est déterminante. Les plus de 25 ans sont en principe considérés comme des individus autonomes. Le montant maximum d’une bourse pour une personne seule est de Fr. 12’000.- par année, l’objectif étant de compléter les revenus de la personne, mais pas de financer entièrement sa formation.
Toutes les infos utiles, ainsi qu’une liste des bourses privées, se trouvent sur le site de la section cantonale : Bourses et prêts d’étude.
Allocation de formation AFO (assurance-chômage)
Si la personne a plus de 30 ans (cas particuliers possibles dès 25 ans) et n’a pas de formation initiale achevée ou ne peut pas trouver d’activité professionnelle correspondant à sa formation, l’assurance-chômage peut financer un apprentissage. En principe, l’allocation est versée au maximum 3 ans, sauf pour les CFC dont la durée est normalement de 4 ans et si la personne ne peut pas bénéficier d’une réduction de la durée de formation.
Des prestations de l’aide sociale sont possibles pour une formation initiale, notamment pour les jeunes sans formation, et sont subsidiaires aux mesures ci-dessus. Si la personne a moins de 25 ans, les parents sont soumis à l’obligation d’entretien de leur enfant (voir les procédures spécifiques dans les Aides à la pratique sur le site ci-après). Les plus de 25 ans bénéficieront d’une analyse individuelle de leurs besoins.
L’école propose un programme AU PLUS qui mixte une activité salariée et des cours de langues.
Exemple 1: Christine a 15 ans. Elle est au pair dans la famille Rochat Elle habite à Vevey. Elle part à 7h30 pour se rendre dans sa famille d’accueil à Chexbres où le papa d’accueil l’attend pour partir au travail. Pour commencer, elle prépare le petit-déjeuner de Criss 2 ans et Léa 4 ans. Ensuite, elle range et fait un peu de ménage. Puis elle organise des activités pour les enfants. Le papa d’accueil rentre à 17h00 et Christine rentre chez elle à Vevey. Le lendemain, elle passe sa journée à l’école Didac de Lausanne où elle suit des cours d’allemand, en partie avec des élèves suisses allemand.e.s. Le reste de la semaine fonctionne de la même manière. Grâce à ce programme, Christine est indépendante, elle prend d’importantes responsabilités qui lui seront utiles pour son avenir et elle renforce ses connaissances de l’allemand.
Exemple 2 : Christian à 16 ans, il habite Versoix et est au senior chez Pierre-André qui a 80 ansA 8h00, Christian part de chez lui pour se rendre à Genève chez Pierre-André. Ensemble, ils prennent le petit-déjeuner. Christian range ensuite la cuisine et fait quelques petits travaux ménagers. Il sort le chien et aide Pierre-André à faire des recherches sur internet. Après le repas de midi, Christian se rend à l’école Didac de Genève pour ses cours d’anglais. À 17h00, il poursuit son programme optionnel par des cours de mathématiques. À 18h30, il rentre chez lui. Le reste de la semaine fonctionne de la même manière. Grâce à ce programme, Christian crée des liens intergénérationnels et il est fier de pouvoir aider une personne âgée. Il acquiert aussi des compétences supplémentaires en anglais.
Pour rappel, le CSFO met à disposition les PDF de certains médias (brochures « Parcours », dépliants, cahiers du choix professionnel, cahiers « Carrières », etc.). Cette offre n’est destinée qu’aux professionnels de l’OSP. En raison du copyright et des questions de droit à l’image, ces médias ne doivent pas être publiés sur d’autres sites Internet. Médias print du CSFO en format PDF – CSFO – Centre suisse de services
Le 21 mars dernier s’est tenue à Berne la Journée des partenaires de la formation professionnelle. Elle s’est articulée autour de sept ateliers de discussion centrés autour de sujets tels que l’orientation professionnelle, le rôle de l’environnement familial dans le processus du choix professionnel, le rôle des entreprises formatrices ou le marketing des places d’apprentissage.
Je vous recommande le visionnage des vidéos ci-dessous, fort intéressantes, qui ont été présentées à cette occasion :
Par Christel Bornand, Cheffe de l’Office cantonal de l’orientation scolaire et professionnelle du canton de Neuchâtel. Présentation du processus du choix professionnel pour un public de non-initiés où sont abordés les éléments et difficultés des jeunes sortant de l’école obligatoire.
Par Jacques Babel, Chef du projet «Perspectives de la formation», section Système de formation, Office fédéral de la statistique OFS, Neuchâtel. Présentation statistique des choix des élèves et leur répartition dans les années suivants la transition I : comment se répartissent les choix des élèves depuis 1990 et que prévoit-on pour le futur, quelles tendances ? qu’en est-il de l’évolution démographique d’ici 2050 ? Combien de personnes entreprennent une formation tertiaire ? quels sont les domaines qui attirent le plus les jeunes, lesquels sont en souffrance ?
Par Stefan C. Wolter, Directeur du Centre suisse de la coordination pour la recherche en éducation SKBF|CSRE. Présentation de données statistiques sur le système de formation en Suisse : les élèves passant par une année transitoire augmentent-ils réellement leurs chances d’intégrer les formations du secondaire II ? y a-t-il vraiment une différence de réussite en apprentissage entre les élèves provenant d’une structure scolaire plus exigeante (niveau 1) que ceux venant d’une structure de niveau moyen (niveau II) ? qu’en est-il du devenir des jeunes étant passés par un enseignement spécialisé ? Où en est-on dans l’objectif d’avoir 95% de personnes diplômées du secondaire II en Suisse ? Quelles sont les compétences qui favorisent le plus l’augmentation des salaires à long terme (les capacités scolaires, les soft skills…) ?
L’organisation pour la formation commerciale fiduciaire/immobilière OFCF organise le 3 mai une manifestation d’information en ligne pour les élèves encore à la recherche d’une place d’apprentissage pour la rentrée 2023.
Utiliser efficacement les technologies du big data exige de nouvelles connaissances et compétences. Il y a une pénurie de personnel qualifié tout au long de la chaîne de valeur du big data, ainsi qu’une concurrence intense dans le monde universitaire, les grandes entreprises informatiques et les start-ups pour recruter les meilleurs talents. Pour remédier à cette pénurie, de très nombreuses universités et hautes écoles spécialisées ont lancé des programmes de formation dans le domaine du big data. Pour permettre aux personnes intéressées de se faire une idée, nous avons dressé une liste des formations dans le cadre du Programme national de recherche «Big Data».
Beatrice Huber dipl. biochem. Leiterin Kommunikation und Marketing Head of knowledge and technology transfer NRP75 «Big Data»
Schweizerische Akademie der Technischen Wissenschaften SATW
Organisée par Insertion Valais, l’édition 2023 des Vitrines de l’insertion se tiendra
le 20 avril à 17h à St-Maurice
(Aula de la Tuilerie, 5 minutes à pied de la gare CFF).
Vous trouverez ici toutes les informations ainsi que le formulaire d’inscription relatifs à cet événement consacré à la pénurie de personnel et conçu de concert avec l’association Valais Excellence.
Notamment la descriptions des besoins d’orientation des élèves sous la forme d’une pyramide, et des réponses des cosp.
Les besoins d’orientation des élèves et des étudiants sont diversifiés et dépendent à la fois de leur fonctionnement psychologique, des ressources dont ils disposent et des conditions de leur environnement. Le schéma présenté ci-dessous illustre trois types de besoins d’orientation, qui requièrent des interventions différentes pour y répondre.
BESOINS GÉNÉRAUX : présents chez tous les élèves et étudiants
Bien que plusieurs personnes soient en mesure d’assumer sans aide une large part de la prise de décisions touchant l’orientation scolaire et professionnelle, elles doivent quand même avoir accès à des moyens, à des outils et à de l’information utiles.
Exemples de réponses aux besoins généraux
Consultations individuelles au bureau du c.o., ateliers d’orientation en groupe, tournée des classes par les c.o., conférences (pour les élèves ou étudiants et pour les parents), journées carrières, soutien des parents, centre de documentation, ressources Internet, banques de données, documents d’information, etc.
BESOINS DISTINCTIFS : présents chez la plupart des élèves et étudiants
La plupart des élèves et étudiants vivent, à un moment ou à un autre, le besoin d’un accompagnement plus ou moins spécialisé, en raison de l’importance et de la portée de certains choix scolaires et professionnels, de l’impression de ne pas être prêt à choisir (indécision), de la préoccupation de ne pas se tromper ou du désir de profiter de l’avis d’un spécialiste. À ce moment, la simple transmission d’informations ne suffit pas, et l’élève ou l’étudiant aura besoin d’une démarche et d’un accompagnement plus structuré avec un c.o.
Exemples de réponses aux besoins distinctifs
Validation à propos du choix d’un programme, d’un métier / d’une profession ou d’un établissement (ex. : élève ou étudiant d’un jour, stage en milieu de travail), accompagnement dans une réflexion à propos de son identité, aide pour trancher entre deux ou trois options, démarche d’orientation structurée, etc.
BESOINS PARTICULIERS : présents chez certains élèves et étudiants plus vulnérables
Certains élèves ou étudiants vivent un « problème d’orientation » (ex. : indécision chronique, anxiété liée au choix, problème d’identité, immaturité vocationnelle) ou encore vivent une situation particulière nécessitant une intervention adaptée (notamment les élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation ou d’apprentissage [EHDAA], au secondaire, et les étudiants en situation de handicap, au postsecondaire).
Ces besoins peuvent ne pas être exprimés et demander un dépistage à l’intérieur d’autres niveaux d’intervention. Ces élèves et étudiants sont sans doute plus à risque d’échec et de décrochage. Par ailleurs, s’ils se dirigent vers le marché du travail à la fin de leurs études, ils peuvent nécessiter un accompagnement plus soutenu dans le cadre de leur insertion socioprofessionnelle.
Exemples de réponses aux besoins particuliers
Évaluation et intervention dans le cadre d’une démarche d’orientation adaptée aux difficultés spécifiques de l’élève ou de l’étudiant, collaborations avec d’autres professionnels ou références vers d’autres services adaptés, etc.
Le système suisse de formation favorise les parcours atypiques… Excellent exemple avec Guillaume Massy,
D’ébéniste à … Doctorant, en passant par la matu prof, la passerelle dubs, la HEP, puis l’Uni :-)
Ebéniste,prof ACM, chargé de cours à la HEP…
Une scolarité en voie générale ou en voie prégymnasiale laisse toutes les portes ouvertes grâce à des passerelles entre les filières professionnelle et académique. Témoignage.
Filière Bachelor Energie et techniques environnementales : Introduction de la formule PIBS permettant aux étudiant·es ayant obtenu une maturité gymnasiale d’intégrer leur stage obligatoire durant le cursus de Bachelor avec un travail en parallèle dans l’entreprise concernée.
Filière Bachelor Energie et techniques environnementales : une nouvelle spécialisation a également été ajoutée au programme: «territoire énergétique durable».
Plus de 26’000 visiteurs se sont succédés au CERM durant les 6 jours du salon. Environ 9’000 écoliers valaisans ont préparé cette visite dans le cadre scolaire et la visite était organisé en lien avec les cycles d’orientation.
La fréquentation du week-end a été très importante notamment grâce aux familles, venues découvrir les diverses animations proposées et approfondir, avec leurs enfants, leurs recherches de formation.
Avec 20% d’augmentation par rapport à la dernière édition qui a eu lieu en 2020, le salon a suscité plus que jamais l’intérêt
Sujet de Rhône FM, interview de M. Delasoie et zoom sur l’hôtellerie et l’alimentation par Canal 9
L’engouement pour le télétravail est en train de retomber. Aux Etats-Unis, certaines entreprises ont même déjà sonné le rappel des troupes au bureau. La tendance se vérifie aussi en Suisse, où le virtuel a perdu de son attrait, confirme Olivia Guyot Unger, directrice du service juridique à la Fédération des entreprises romandes: « Ce mode de travail relativement nouveau fait l’objet d’une lassitude aussi bien du côté des employeurs que des employés. »
Cette manière de travailler raréfie les contacts humains et les échanges. Pourtant, ces interactions sont essentielles et le présentiel favorise ces interactions.
Le consensus qui commence à se dégager limite le télétravail à un jour par semaine. C’est assez pour permettre une certaine flexibilité sans nuire à la créativité et à la bonne cohésion de l’équipe.
Ce sont 18 artisanes et artisans qui vous ouvrent leur portes pour vous démontrer l’entier de leurs compétences techniques et créatives. Le temps d’un week-end, venez à la découverte de véritables trésors nationaux œuvrant dans les domaines des arts appliqués, du verre, du textile , du papier, du métal, du cuir, du bois, de la terre, de la pierre et de la bijouterie.
Ce manuel couvre pour la première fois toutes les activités du SHE depuis la fusion avec l’Office d’orientation scolaire et professionnelle ainsi que la formation continue. Vous y trouverez une description introductive de nos activités et de notre fonctionnement. En outre, vous verrez également notre vision et les missions que le SHE s’est fixées comme objectifs. Dans l’ensemble, ce manuel vous donne également un bon aperçu de nos efforts pour offrir un service public de qualité et ciblé grâce à un système de gestion de la qualité actif.
Dans la recherche par institution (https://www.orientation.ch/dyn/show/157901), il est
désormais possible de trier les résultats par canton et par diplôme. Cela est particulièrement
utile pour les grands prestataires proposant des offres de différents niveaux de formation
et/ou dans plusieurs cantons. Il est désormais possible, par exemple, de trier les offres de la
Haute école spécialisée du nord-ouest de la Suisse (FHNW) par canton, ou les offres de
l’Université de Zurich par niveau de formation (bachelor, master, etc.).
La librairie La Liseuse et l’Association Lire&Ecrire organise une soirée rencontre autour de l’écrit, à travers
des éclairages variés, allant de l’art de la correspondance au phénomène de l’illettrisme, en passant par des
sujets parfois douloureux comme l’exil. La soirée sera également ponctuée de témoignages de jeunes.
16 mars 2023, 18h00-19h30
à la Librairie La Liseuse, Rue des Vergers 14, Sion
Le quatrième rapport sur l’éducation en Suisse vient de paraître. Il a été remis le 7 mars 2023 à la Confédération et aux cantons par le Centre suisse de coordination pour la recherche en éducation (CSRE). Sur plus de 400 pages, le rapport 2023 présente l’état actuel des connaissances sur le système éducatif suisse et sur ses performances à tous les niveaux de formation. Il s’agit d’un instrument incontournable pour le pilotage et le développement du système éducatif suisse, de l’école obligatoire au niveau haute école.
Vendredi dernier a eu lieu le premier Speed recruiting de St-Maurice : quelque 200 entretiens de 10 min. ont permis à 85 jeunes du collège de la Tuilerie (CO et EPP) et une trentaine d’entreprises du Chablais de se présenter, se découvrir et peut-être se convaincre.
Si le courant passe, un 2ème entretien est organisé, puis éventuellement un stage, qui peut dans l’idéal conduire à un contrat d’apprentissage.
En station, les vacances battent leur plein… Et pour accueillir et servir ces touristes, les saisonniers sont précieux. Encore plus ces dernières années, avec un certain désamour des professions de l’hôtellerie-restauration. Des réflexions sont à l’étude pour attirer la relève.
L’OrTra Environnement met à disposition une plateforme en ligne autour des professions du domaine.
On y trouve des informations sur les formations, une bourse d’offres d’emploi, des places de stage ou bénévolat, des ressources documentaires et statistiques, et un service de conseil en ligne.
Médecin spécialiste est le métier le plus prestigieux à l’heure actuelle en Suisse, selon une étude publiée mardi. A l’autre bout de la hiérarchie figurent les métiers du nettoyage et les aides de cuisine.
Plus de 1500 personnes ont été interrogées en 2019 pour mener cette étude. Elles ont été priées d’évaluer un ensemble de professions selon leur prestige, indique le projet Social Changes in Switzerland, du Centre de compétences suisse en sciences sociales (FORS) et de l’Université de Lausanne.
Les médecins, professeurs d’université, dirigeants, pilotes d’avions et juges obtiennent les scores les plus élevés. Les métiers de nettoyage, d’emballage ou d’aide de cuisine, les ouvriers de fabrique et les caissiers de magasins se voient relégués aux dernières places.
Formation et revenu
Les deux principaux facteurs expliquant le prestige d’une profession sont la formation et le revenu. La proportion de femmes ou de migrants n’a en revanche aucun impact.
L’évaluation ne change pas non plus si une profession est proposée au féminin (p.ex. vendeuse) ou au masculin (vendeur).
Il existe quelques exceptions: la version féminine est plus prestigieuse dans certains métiers typiquement féminins comme esthéticienne ou sage-femme, alors que la version masculine l’emporte dans des métiers typiquement masculins comme pompiers ou charpentiers.
Des résultats dans l’air du temps
Les résultats pour la Suisse correspondent globalement à ceux observés à l’étranger.
Les auteurs de l’étude ont toutefois remarqué deux particularités helvétiques: les professions techniques et de soins, issues de la formation professionnelle, ont un prestige plus élevé qu’au niveau international. En revanche, les métiers de cols blancs comme les vendeurs, secrétaires ou employés de bureau sont moins bien considérés.
Le service gratuit de bilan professionnel pour adultes Viamia fête ses deux ans en 2023. Si le programme, destiné aux 40 ans et plus, est victime de son succès, ce sont majoritairement les personnes hautement qualifiées qui y font appel pour l’instant.
Viamia, ou « ma voie » en italien, est un service gratuit et financé par la Confédération et les cantons. Destiné aux quadragénaires, aux quinquagénaires et aux sexagénaires, il est en plusieurs points comparable aux bureaux d’orientation professionnelle. Son but est « d’augmenter l’employabilité des travailleuses et travailleurs » en répondant à leurs questionnements professionnels, peu importe leur parcours et leur niveau de qualification. Qu’il s’agisse d’une volonté de changer d’emploi, de suivre une formation ou d’anticiper un éventuel coup dur, ce service est disponible dans tous les cantons.
Article complet et interview du chef du service de l’orientation professionnelle de Fribourg : On en parle – RTS
Informations concernant la journée découverte des formations 2023 (Flyer) destinée aux futurs étudiants intéressés, qui aura lieu le samedi 18 mars 2023. Présentation des infrastructures et filières:
L’école supérieure de technicien vitivinicole ES forme les viticulteurs-encaveurs, les chefs de culture et les chefs cavistes.
La Haute école de viticulture et œnologie forme les ingénieurs en viticulture et œnologie (Bachelor of Science HES-SO) et délivre le Master of Science in Life Sciences HES-SO orientation viticulture et œnologie.
L’école du vin propose des cours ouverts à tous, ainsi que les cours de préparation au Brevet fédéral de sommelier/ère.
« En fonction de vos revenus, auriez-vous droit à des prestations sociales ?
Si vous êtes majeur·e et domicilé·e dans l’un des cantons de Suisse romande vous pouvez les estimer de façon parfaitement anonyme. »
Aide sociale / Avances sur pensions alimentaires / Bourses d’études et d’apprentissage / Prestations complémentaires à l’AVS ou à l’AI / Subsides à l’assurance maladie / Etc.
En ce qui concerne le Valais, des chiffres récents de l’OFS faisaient état de 32% d’interruptions d’apprentissage, en faisant un des moins bons élèves du pays. Mais la cheffe de la formation professionnelle relativise : 83% des jeunes concernés ont signé un nouveau contrat dans les trois mois suivants.
Il manquerait plus de 100’000 employé-e-s qualifiés en Suisse, et ce chiffre devrait encore augmenter, et ce dans pratiquement tous les secteurs économiques.
Sujet très intéressant de Fokus, sur la RTS : pour regarder
Ce podcast propose de découvrir les métiers accessibles notamment après l’école de culture générale (ECG) du gymnase, par le biais d’une formation supérieure. Des professionnel-le-s passionné-e-s par leur métier présentent leur quotidien sans filtre.
L’association Nouvel Envol, qui vient en aide aux oiseaux sauvages blessés de notre canton, organise des stages d’un mois au plus pour des jeunes de 16 ans, de mai à septembre.
Les prestations de l’AI pour les enfants
Soirée d’information et d’échanges destinée à l’entourage d’enfants en situation de handicap et aux professionnels du domaine Mardi 7 février 2023 18h30 – 21h30
Aula du campus Energypolis, Sion
La complexité du droit des assurances sociales est souvent un casse-tête pour les parents d’un enfant en situation de handicap. De la naissance d’un enfant jusqu’à l’âge adulte, des décisions
importantes doivent constamment être prises. Il est donc essentiel de connaître les rouages de ce domaine législatif pour faire valoir ses droits.
À la fin de cette soirée, vous aurez :
• Obtenu des informations concrètes sur les droits des enfants avec handicap et sur les modifications législatives intervenues ces dernières années
• Rencontré et échangé avec d’autres parents d’enfants en
situation de handicap et des professionnel∙le∙s
Recevoir des candidates et candidats sans avoir vu leur CV ? C’est l’expérience tentée par une
entreprise vaudoise, qui a confié la présélection des dossiers à un cabinet externe, avant de recevoir les personnes retenues pour des entretiens brefs, sans avoir consulté leur dossier de candidature.
L’objectif : donner leur chance à des profils qui n’auraient pas été retenus par les RH. Profils compliqués, « trous » dans le parcours, nombreux changements de postes, etc.
Autre support en plein essor : le CV vidéo. Pas toujours facile à réaliser, et pas toujours apprécié du côté des entreprises, si le contenu est trop original… ou pas assez !
Et si on favorise l’échange visuel d’un côté, on remplace les recruteurs par des robots de l’autre. Paradoxe garanti…
L’Etat du Valais a envoyé fin 2022 une directive aux communes concernant les auteurs de plans. Depuis le 1er janvier, ceux qui signent ces documents doivent être au bénéfice d’une formation reconnue : master, bachelor, brevet, maîtrise, diplôme d’une école supérieure technique ou inscrite au registre professionnel REG A, B ou C. «La notion d’auteur de plan est très large. Vous n’avez pas besoin des mêmes compétences pour dessiner un immeuble de trois étages ou pour rénover une pompe à chaleur d’une maison d’habitation», explique Rachel Duroux, cheffe du Service administratif et juridique du Département de la mobilité, du territoire et de l’environnement (DMTE). Selon elle, la plupart des auteurs de plans bénéficient déjà des formations requises. Peu d’entre eux risquent de rester sur le carreau. «Jusqu’ici, on n’a eu peu de revendications de gens qui se sont plaints de ne pas disposer de ces compétences», rassure Rachel Duroux. Il faut dire que cette directive n’est pas nouvelle. Elle est issue de la révision de la loi sur les constructions, adoptée en 2018 par le Grand Conseil valaisan. «Le parlement a différé l’entrée en vigueur de cinq ans pour permettre aux gens de se mettre en conformité».
La nouvelle législation concerne tant le gros que le second œuvre et vise à éviter les erreurs dans l’élaboration des plans. Cette directive n’est pas nouvelle, elle est issue de la révision de la loi sur les constructions, adoptée en 2018 par le Grand Conseil valaisan. «L’objectif premier est l’amélioration de la qualité et une accélération du processus d’autorisation de construire», explique Rachel Duroux, qui se veut rassurante. L’Etat ne se dissimule pas derrière cette directive pour conformer les constructions ou réduire la créativité des architectes.
Compétentes en matière de construction, les communes devront elles mêmes vérifier les diplômes des auteurs de plans qui exercent sur leur territoire. «Il faut une rigueur dans les dossiers d’autorisation de construire. Les communes valaisannes se réjouissent de cette professionnalisation dans le traitement des dossiers,» précise Stéphane Coppey, le président de la Fédération des communes valaisannes.
La formation continue doit être davantage encouragée. La Conférence des institutions d’action sociale (CSIAS) et la Fédération suisse pour la formation continue (FSEA) veulent accroître leur offensive en ce sens lancée en 2018.
Alors que depuis 2019 neuf services sociaux bénéficiaient de structures d’encouragement à la formation, quelque 40 services supplémentaires devraient en être dotés d’ici à 2026.
La CSIAS et la FSEA estiment que la formation continue ne crée que des gagnants. « L’économie obtient la main-d’oeuvre dont elle a urgemment besoin, l’Etat est soulagé de l’aide sociale et les personnes ainsi soutenues peuvent retrouver l’autonomie financière », écrivent-elles lundi dans un communiqué publié en marge de leur conférence de presse.
En 2021, quelque 182’000 adultes ont bénéficié de l’aide sociale. Parmi eux, près de la moitié ne disposait pas d’un certificat professionnel, tandis qu’un tiers connaissait des difficultés au niveau des compétences de base comme la lecture, l’écriture, les mathématiques élémentaires et l’usage des technologies de l’information.
Formation indispensable à la réinsertion
Dans le passé, l’accent était mis sur l’aide à la réinsertion dans le marché du travail, rappellent la CSIAS et la FSEA. « Pourtant, l’expérience montre que, sans amélioration des compétences de base ni certification professionnelle, l’intégration dans le marché du travail n’est pas durable », soulignent-elles.
Nous vous présenterons les différents univers de voyage (respectivement lieux de formation), vous donnerons un aperçu des tâches d’un apprenti et vous montrerons pourquoi une formation commerciale dans la branche des voyages est passionnante et pleine de opportunités.
Nous organisons cette manifestation d’information en ligne au nom de toutes les agences de voyages. En outre, la responsable de l’apprentissage d’une grande entreprise ainsi que deux apprenties se tiendront à disposition pendant la séance d’information pour répondre à toutes les questions relatives à notre branche.
Mardi, 24 janvier 2023
10h00 – 11h00
Accueil et présentation
Qui sommes-nous ?
Les différents univers (de formation) du voyage
Déroulement de notre formation
8 bonnes raisons de faire son apprentissage dans le monde du voyage
Ecole professionnelle et cours interentreprises
Possibilités de formation continue
Vos attentes, questions, réponses
Intéressé-e? Envoyez un mail d’inscription à stephanie.chezeaux@ist.vantage.ch. Vous recevrez ensuite le lien TEAMS pour participer à la séance d’information.
Fédération Suisse du Voyage, 044 487 30 56, www.srv.ch
L’émission Couleurs locales de la RTS a consacré 3 minutes de son émission du 9 janvier pour présenter l’évolution de l’orientation depuis 50 ans. Et pour ce faire, sa journaliste est venue en Valais.
A découvrir à partir de la minute 13:42 de cette vidéo :
Cette journée vise à rassembler les praticien-ne-s et spécialistes actif-ve-s dans le domaine de l’éducation et de la formation, de la clinique, du monde du travail, du conseil en orientation et de carrière et de la santé, ainsi que les chercheur-euse-s intéressé-e-s par la thématique de la psychologie positive. L’objectif est de découvrir, échanger et réfléchir sur les modèles et les stratégies d’intervention possibles pour favoriser l’épanouissement des individus tout au long de leur vie, de l’enfance à l’âge avancé, en passant par la vie active.
En guise de vœux de Noël, un souvenir qui parlera à certains et certaines d’entre nous!
Un humour décapant et un discours qui a à peine vieilli, et tiens, c’est curieux, le chef a toujours la même voix :)…. Allez (re)voir le MP4 de ce moment d’anthologie disponible sur
Une formation pilote a démarré au sein du Bureau des Métiers pour former différents types de professionnel.les du bâtiment à l’installation de panneaux solaires. L’objectif est de proposer, à terme, cette formation à toutes les entreprises apelées à fournir ce type de prestations, et d’y intégrer des personnes en reconversion ou réinsertion professionnelle.
Le 6 juin 2023, le CePCO (Centre de recherche en Psychologie du Conseil et de l’Orientation, Unil) organise une journée (9H-17H) visant à stimuler les réflexions et les échanges recherche-pratique autour des enjeux de durabilité. Programme détaillé communiqué prochainement. Save the date!
Dès la rentrée de septembre 2023, la Haute Ecole Arc Santé va proposer une nouvelle filière HES-SO en Physiothérapie sur le Campus de Delémont > communiqué
La résilience aide les gens à faire face à l’adversité. Mais nous le savons : Alors que certains continuent à avancer dans la vie malgré des crises importantes, d’autres sont déstabilisés. Notre tout prochain colloque annuel traitera de la capacité d’action en cas de crise, que ce soit dans notre «perspective de conseil» ou du point de vue des personnes à la recherche de conseils.
Colloque annuel de l‘ASOU 2023 – De la crise à l’action – 1er et 2 février 2023 – Haute école spécialisée de Lucerne (HSLU) | Université de Lucerne
Le premier jour de notre conférence, nous nous pencherons sur quelques questions : Que disent les dernières recherches psychologiques et biologiques sur les facteurs décisifs ? Comment aborder la santé mentale et la résilience dans le cadre du conseil aux jeunes adultes et aux étudiant.e.s ? Le deuxième jour, dans le cadre d’ateliers thématiques, nous discutons des approches de gestion des crises, nous rassemblons des thèses et des connaissances. Nous poursuivons l’échange d’expériences en séance plénière et préparons nos paquets individuels de « Key Take-Aways ». Pendant deux demi-journées, nous découvrons les deux hautes écoles qui nous accueillent et une sélection de cursus : l’Université de Lucerne a connu une croissance continue et accorde une grande importance à l’interdisciplinarité. La Haute école spécialisée de Lucerne présent les filières d’études enseignés en anglais dans les départements Technique et Architecture, Économie, Informatique, Art et Design.
Comme chaque année, le colloque se déroulera en deux langues, avec des exposés en français et en allemand, mais avec des supports dans l’autre langue. Le colloque de l’ASOU est également ouvert aux non-membres
Afin d’offrir la possibilité aux élèves des cycles d’orientation du Valais romand de faire plus ample connaissance avec les professions de la santé, l’Hôpital du Valais organise, comme chaque année, «l’Hôpital miniature» dans son établissement de Sion.
Durant chacun des trois jours, une quarantaine d’élèves pourront assister à des présentations, côtoyer des professionnels de la santé (infirmiers, physiothérapeutes, sages-femmes, TRM, etc.) et participer à des ateliers dédiés aux divers métiers de la santé au sein de l’hôpital.
Comme cette journée est généralement très prisée par les jeunes, veillez à encourager les élèves intéressés par le domaine de la santé à s’y inscrire le plus tôt possible.
CAP’Ado : l’Hôpital du Valais a ouvert cette semaine un centre d’accueil et de projets pour adolescents (CAP’Ado). La structure renforce l’offre de psychiatrie ambulatoire à destination des jeunes, en offrant diverses formes de soutien à l’insertion sociale et professionnelle.
L’Hôpital du Valais a présenté mardi le nouveau centre d’accueil et de projet pour adolescents (CAP’Ado), situé dans les locaux de l’ancien Institut de Recherche en Ophtalmologie, à deux pas de l’hôpital de Sion.
«Nous sommes fiers de pouvoir compter sur cette nouvelle structure, mise en place dans des délais courts, qui répond aux besoins identifiés sur le terrain», indique mardi à la presse Mathias Reynard, chef du département de la santé.
Une détresse psychologique en hausse
La détresse psychologique chez les jeunes est en hausse déjà depuis une dizaine d’années, mais le Covid-19 a amplifié ce phénomène. Dans le Valais romand, le nombre de visites ambulatoires a augmenté entre 2019 et 2021 de 25% chez les jeunes entre 14 et 24 ans. Dans le Haut-Valais, la hausse était de 32%.
Face à ce constat, le Valais a lancé un projet-pilote en août 2021 pour mieux orienter les jeunes patients et améliorer leur accessibilité aux traitements. Parallèlement, les équipes des urgences psychiatriques ambulatoires ont été renforcées afin d’assurer une prise en charge rapide. La mise en place du CAP’Ado s’inscrit dans le cadre de ce renforcement des dispositifs, soutenu par les autorités cantonales. Lire la suite »
L’EPIC, l’école professionnelle intercantonale de chimie, a mené une opération séduction samedi auprès de potentiels futurs apprentis. Le but est de faire naître des vocations dans un secteur industriel de plus en plus important en Valais.
A l’occasion de la journée annuelle de l’Observatoire valaisan de la santé, le psychiatre français Serge Tisseron a donné des pistes pour éviter de se laisser impacter par les informations inquiétantes.
Le psychiatre Serge Tisseron a parlé de l’effet parfois nocif d’internet devant une centaine de personnes à la clinique Suva à Sion. héloïse maret
La crise du Covid, la guerre en Ukraine et le réchauffement climatique, autant de sources d’angoisses pour la population. Des peurs qui s’accroissent encore avec le flux d’informations tapissant le numérique. Au point que certains ont décidé de ne plus s’informer du tout pour éviter d’être trop impactés psychologiquement.
Comment reprendre le contrôle de sa vie dans ce monde envahi de nouvelles anxiogènes? Le psychiatre français Serge Tisseron, membre de l’Académie des technologies et du Conseil national du numérique, a élaboré quelques pistes dans une conférence lors de la journée annuelle de l’Observatoire valaisan de la santé jeudi passé à Sion.
Il conseille par exemple de désactiver les notifications que les personnes reçoivent en permanence sur leurs téléphones pour les alerter de telle ou telle nouvelle. «Il est préférable de mettre en place des rituels en consultant les infos à des horaires réguliers, en évitant ainsi de tomber dans l’info continue.»
Une autre piste est de s’interroger sur ce qui vaut la peine d’être lu et regardé, tout en restant curieux. L’usage de psychotropes ou d’anxiolytiques est à éviter. «La pratique d’activité physique et l’interaction avec les autres – qui permet d’activer notre «cerveau social» – sont également des moyens de reprendre le contrôle.» Lire la suite »
Près de 650 000 personnes souhaitent changer d’emplois en raison des pressions. Par contre, les salariés ne craignent plus le chômage.
La lutte contre le stress doit devenir «une priorité politique», estime Adrian Wüthrich, président de Travail.Suisse.
Seuls 11,2% des salariés se font du souci pour leur emploi. Ce chiffre n’a jamais été aussi bas depuis le début du baromètre, relève Travail.Suisse à la suite de la présentation, hier, du «Baromètre Conditions de travail 2022» de Travail.Suisse et de la Haute école spécialisée bernoise.
Chaque année depuis 2015, ce sondage représentatif est réalisé auprès de 1500 personnes âgées de 16 à 64 ans.
«Urgent d’agir»
Le stress reste en revanche un problème central. Depuis 2016, la part des travailleurs stressés est passée de 37,8% à 43%. «Si plus de 650 000 salariés souhaitent changer d’emploi en raison du stress, cela montre qu’il est urgent d’agir», souligne Adrian Wüthrich, président de Travail.Suisse, selon la version écrite de son discours. Et d’exiger que la lutte contre le stress devienne «une priorité politique».
De plus, près de trois salariés sur quatre s’attendent à une augmentation de leur charge de travail dans un avenir proche.
Un cercle vicieux
Les travailleurs des domaines de la santé et du social jugent leurs conditions de travail comme moins bonnes que dans d’autres secteurs.
Cela fait entrer ces domaines dans un cercle vicieux: la pénurie de main-d’œuvre accentue le stress et péjore les conditions de travail, ce qui pousse les professionnels à des arrêts de travail ou à changer d’emploi, augmentant encore la pénurie, a relevé pour sa part la vice-présidente de Travail.Suisse Léonore Porchet.
La conseillère nationale vaudoise appelle donc le Conseil fédéral et le Parlement à mettre en œuvre rapidement l’initiative sur les soins infirmiers.
Nous avons constaté aujourd’hui un dysfonctionnement dans la liste des présences dans l’intranet.. restauration en cours…
Les modifications annoncées du PI ont été déployées. Les changements sont les suivants:
deux semaines avant la séances, le cosp responsable reçoit un mail de rappel qu’il peut faire suivre (ou non) à l’animateur, ou le contacter comme d’habitude par tel.
le rappel pour l’élève de l’inscription à une séance part le mardi matin (7 jours avant la séance) , ce qui donne aux jeunes la possibilité de se désinscrire le mardi encore sans passer par le CIO
Au niveau de la liste des présences xls, des informations plus détaillées ont été introduites (lieu – nom du responsable – professions…)
Dès que le contrôle des présences a été introduit dans le système (délais jeudi midi comme d’habitude) les élèves pourront maintenant imprimer une attestation de participation, soit pour la séance suivie, soit une attestation globale de toutes les séances de leur profil
Dans son édition de novembre, Résonances consacre sa rubrique Rencontre du mois à Jonathan Corbillon, responsable de la section des classes d’accueil et d’intégration du Valais.
Dans l’édition de ce mois du magazine Résonances, un dossier complet est consacré à la notion de réussite (ou échec) scolaire. Un article est consacré à des témoignages d’élèves de l’ECCG-EPP) de Sierre :
Rencontre à Sierre avec des élèves en ECCG-EPP (Ecole de commerce et de culture générale – Ecole préprofessionnelle) pour évoquer leur perception de la réussite et de l’échec scolaire. Adia, Ebrahimi, Samuel, Syrine et Tom, tous élèves dans la même classe d’EPP et ayant entre 14 et 17 ans, s’envisagent ce jour-là entre autres gestionnaire du commerce de détail, électronicien, mécatronicien, conductrice poids lourd, laborantin en biologie, assistante socio-éducative, ayant tous au moins un plan B. C’est avec enthousiasme et émotion qu’ils ont parlé de la thématique. A la fin de l’échange, ils ont insisté pour délivrer un message aux lectrices et lecteurs de cet article.
On entend souvent parler d’échanges linguistiques durant les études ou une année de coupure… le bureau des échanges linguistiques du canton propose aussi des séjours durant l’apprentissage ou juste après, lors d’un stage en entreprise.
A l’occasion de la Semaine mondiale de l’entrepreneuriat, plusieurs conférences sont données ces jours en Suisse par des femmes entrepreneures. L’objectif est d’échanger et s’entraider alors qu’il est souvent compliqué pour elles de trouver leur place, surtout quand elles travaillent dans des secteurs masculins.
« Comment est-ce que ça va se passer avec les enfants? Est-ce que la fonction ne sera pas trop lourde pour vous? »
Ces questions sont souvent posées aux femmes, en particulier aux femmes entrepreneures. L’actualité le démontre d’ailleurs puisque les candidates à la succession de Simonetta Sommaruga au Conseil fédéral ont parfois été interrogées de la sorte.
Un biais
Co-fondatrice de Miloo, une entreprise de vélos électriques, Anna Bory peut également en témoigner. « Des fois, dans mon magasin, on me demande où est mon boss. Dans ce genre de cas, je réponds très gentiment que c’est moi. Il y a un biais qui n’est pas forcément malveillant et qui est en train de changer. A Singapour, ville où il y a le plus de femmes CEO au monde, et où j’ai travaillé durant huit ans, on ne m’a jamais questionnée sur mes décisions », explique-t-elle au micro de La Matinale.
Il ne s’agit pas forcément d’un clivage homme-femme, mais plus d’éducation, comme l’explique Valérie Jornod, membre du comité des « Mampreneures », une association qui soutient les mamans entrepreneures, et directrice de la fiduciaire Jornod IC Sàrl à Yens, dans le canton de Vaud.
« C’est vrai qu’en tant que femme, on se pose beaucoup de questions avant d’y aller. Des fois, il faudrait juste oser et avoir confiance en soi. Et c’est peut-être ça le plus difficile. »
La formation et le nombre croissant de femmes à des postes importants devraient aider. Mais seuls 5% des postes de chefs d’entreprises sont occupés par des femmes de par le monde, selon le rapport 2022 de Deloitte.
Evolution de la question
C’est tout un modèle à réinventer du côté des entreprises, pour mieux intégrer les questions par exemple de la maternité ou des enfants dans l’organisation du travail, comme l’explique Joanna Bessero, consultante en ressources humaines. Et pour elle, les choses sont déjà en train de changer.
« Je pense que la différence aujourd’hui n’est plus liée uniquement à la femme qui travaille, mais aux parents. Car on se rend compte de plus en plus que les demandes de taux d’activité réduits sont faites aussi par de jeunes papas. »
Une évolution qui s’observe également en termes de concurrence. « Ce ne sont plus les candidats qui se font concurrence sur le marché de l’emploi mais les employeurs. Il y a une dimension qui a basculé », poursuit-elle. « L’employeur se doit d’être au plus proche des attentes des collaborateurs. C’est pour ça qu’il y a de plus en plus de flexibilité, de postes de co-direction aussi dans l’entreprise. Il y a beaucoup de choses qui vont tendre vers le bien-être du collaborateur, du manager et du salarié. »
Pour écouter l’interview de Joanna Bessero dans la Matinale du 15 novembre : RTS
La formation professionnelle suisse – potentiels et défis
Lausanne, le 15 novembre 2022 – Aucun autre pays en Europe ne compte autant de jeunes suivant une formation professionnelle duale que la Suisse. Cette voie particulière représente un défi compte tenu de l’évolution rapide du marché du travail et de la société où de nouvelles compétences sont sans cesse demandées. Dans le nouveau rapport de tendance, des chercheurs et chercheuses de la Haute école fédérale en formation professionnelle HEFP plaident pour une optimisation de la perméabilité entre la formation professionnelle et la formation générale et pour la promotion des compétences en formation continue chez les personnes en formation.
Avec son système de formation professionnelle, la Suisse emprunte de plus en plus une voie particulière en Europe et se distingue toujours plus nettement de ses voisins allemands et autrichiens. Nulle part ailleurs, la formation professionnelle duale n’est restée aussi forte et la séparation entre la formation professionnelle et la formation académique aussi nette, comme le montre le nouveau rapport de tendance de l’Observatoire suisse de la formation professionnelle OBS HEFP. Cette situation présente des avantages, mais aussi des défis.
Parmi les points forts de la formation professionnelle suisse figurent jusqu’à aujourd’hui sa grande proximité avec la pratique et le marché du travail ainsi que le faible taux de chômage des jeunes. Près de 60 pour cent des jeunes suivent une formation professionnelle duale – un taux qu’aucun autre pays européen ne connaît. En outre, 91 pour cent des jeunes adultes de 25 ans en Suisse ont obtenu un diplôme du degré secondaire II, un taux très élevé en comparaison internationale.
La culture générale gagne en importance
Il est néanmoins nécessaire de réagir aux changements technologiques, économiques et sociaux. Dans ce contexte, la question du rapport idéal entre la formation professionnelle et la formation générale est centrale. Elle se pose dès lors qu’il s’agit de choisir entre une voie gymnasiale/générale et une voie professionnelle. Elle se pose également au sein de la formation professionnelle, où certains apprentissages prévoient une part de formation scolaire deux fois plus importante que d’autres. De plus, la maturité professionnelle (MP) est répandue de manière très inégale selon les professions et les cantons.
Les exigences augmentent
Les changements structurels du monde du travail renforcent l’importance de l’apprentissage tout au long de la vie dans les contextes scolaires et d’entreprise. La capacité à s’adapter à de nouvelles conditions professionnelles gagne en importance. Ce changement se traduit également par l’augmentation du nombre d’apprentis et apprenties dans les formations professionnelles duales avec une part de formation scolaire plus importante. Reste que cette augmentation entraîne aussi un conflit d’objectifs : si les personnes en formation sont davantage à l’école, elles manquent dans les entreprises, ce qui détériore le rapport coûts/bénéfices de l’entreprise.
Les chercheurs et chercheuses de la HEFP se prononcent en faveur d’un débat ouvert sur l’avenir et le potentiel d’optimisation du système éducatif suisse, en particulier sur sa perméabilité effective, qui pourrait encore être augmentée, comme le confirme un regard vers les pays voisins. Il s’agit également de réfléchir à des offres de formation supplémentaires au degré secondaire II, qui offriraient une alternative aux jeunes qui n’ont pas réussi leur formation professionnelle initiale.
Plusieurs dizaines de milliers d’élèves sont partis jeudi à la découverte d’univers professionnels en Suisse, à l’occasion de la Journée « Futur en tous genres ». Le but? Accompagner une personne du sexe opposé pour déconstruire les stéréotypes de genres attachés à certains métiers.
Vaud : Parmi les nouveautés de cette année,le canton cite l’activité « agricultrice » pour les filles, organisé avec l’école Agrilogie Grange-Verney, à Moudon, ainsi que les métiers techniques de la scène, à l’invitation de l’Opéra de Lausanne.
Neuchâtel : Environ 900 élèves ont participé à une cinquantaine d’ateliers ludiques et interactifs, qui visent à mettre à mal les idées reçues sur les sciences et la technique. « Les Tecdays visent à montrer aux élèves la diversité des métiers techniques et scientifiques », a déclaré à Keystone-ATS Edith Schnapper, responsable de programmes au niveau romand de l’Académie suisse des sciences techniques (SATW). Ces ateliers cherchent à pousser les lycéens à se questionner sur le monde qui les entoure, car la technologie est omniprésente dans le quotidien, a-t-elle ajouté.
En novembre 1970, l’équipe de télévision de l’émission Revue 13-17 se rend au Centre d’orientation professionnelle de la ville de Sion. De jeunes Valaisans – ici uniquement des garçons – y suivent des cours et effectuent des stages. De tests en présentations, de visites d’entreprise en entretiens avec des professionnels, ces adolescents se cherchent une voie.
Une journaliste de la RTS nous a appelés car elle souhaiterait retrouver les jeunes qui ont été interviewés lors de cette émission pour voir ce qu’ils sont devenus et leur demander quels regards ils portent, 50 ans plus tard, sur les conseils OSP qu’ils avaient reçus alors.
Après la pénurie de pilotes de locomotive en 2021, les CFF assurent désormais que la relève en formation est suffisante. Le métier attire des milliers de prétendants et suscite de nombreuses reconversions.
Le déficit d’image de la profession d’ingénieur dans les domaines du génie civil, de la mécanique ou de l’énergie explique en partie la pénurie actuelle. Les écoles polytechniques ont souvent mis l’accent sur des sujets plus sexy, comme les sciences de la vie ou l’environnement.
La chaîne du Bureau des métiers sur YouTube (162) Bureau des Métiers – YouTube propose des films de 7-8 min de bonne qualité présentant les métiers et les entreprises affiliée au Bureau des métiers.
Ces films made in Valais, présentant des entreprises valaisannes, viennent compléter les films déjà disponibles sur orientation.ch.
Un parcours de formation raccourci Bachelor HES pour les diplômé·e·s ES en soins infirmiers sera possible dès le 19 septembre 2022 à Sion
Dès le 19 septembre 2022 les diplômé·e·s ES en soins infirmiers ont la possibilité de poursuivre des études en Bachelor en Soins infirmiers à la Haute Ecole de santé dans le cursus francophone à Sion.
Ouverture de classes supplémentaires et augmentation des mesures intégratives renforcées
Ouverture des week-ends et des vacances sur Don Bosco/Ste Agnès & au Kinderdorf
Ouverture d’une nouvelle classe de transition « Passerelle- apprentissage » : cette nouvelle structure qui concerne des élèves en difficulté ou ayant des troubles et en fin de scolarité obligatoire, se destinant à une formation duale (avec l’aide de l’AI ou non). Elle propose un programme de cours, de stages et de développement personnel, avec l’aide d’un enseignant spécialisé. Pour cette année, cette structure a prioritairement absorbé des élèves surnuméraires prévus à la classe de formation pratique de Martigny. La classe se trouve également au centre professionnel de Martigny.
Poursuite de projets-pilotes
Distribution de kits aux enseignants : ces kits contiennent un condensé des éléments essentiels pour assurer une prise en charge qualitative, notamment dans le cadre des troubles sensoriels.
Personnes-ressources pour les enfants touchés par une maladie rare: ce dispositif est implémenté dès la rentrée selon communication du Service de l’enseignement du 23 juin.
Formation des aides à la vie scolaire (AVS) et stagiaires s’occupant d’élèves du CPS
Entre les exclusions, les décrochages ou encore les échecs scolaires, le mal-être des étudiants et étudiantes se fait de plus en plus ressentir en Suisse.
« A la rentrée passée, j’avais une vingtaine de situations complexes. C’est-à-dire des élèves qui étaient en dépression, qui avaient peut-être déjà fait une tentative de suicide et qui présentaient des symptômes tels que des crises d’angoisse qui les empêchaient de venir à l’école », témoigne dans la Matinale Marc Herzer, doyen de l’école de culture générale Ella-Maillart à Genève, dans La Matinale. >> Toute l’émission sur ce lien
Le Centre médico-pédago-thérapeutique de jour de Don Bosco, sis à la Rue du Grand Verger 3 à Martigny, accueille sur site un maximum de 12 jeunes de 11 à 16 ans (7H-11CO) présentant une phobie scolaire et dont la situation nécessite un changement de cadre scolaire.
L’intégration dans cette structure suit une procédure officielle, impliquant les conseillers pédagogiques, les directions d’école et le CMPTJ, dans un premier temps, puis les parents et les différents partenaires dans un second temps. Toutes les demandes sont transmises au CMPTJ par les directions d’école et aucune inscription ne peut être faite de manière directe par les parents.
Inscris-toi sans attendre à notre demi-journée découverte au sein de Syngenta Monthey
l’après-midi du mercredi 28 septembre 2022 !
Inscription par mail sur
apprentissage.monthey@syngenta.com
Délai d’inscription jusqu’au 23 septembre 2022
L’association JeunesParents aide les parents jeunes (< 25 ans) à vivre et à concilier leur parentalité, leur jeunesse et leur
formation en Suisse romande. Elle les encourage à devenir acteurs de leur propre vie de manière autonome et responsable afin de favoriser leur intégration et d’éviter le risque de précarité et d’isolement.
Les 15 & 16 septembre à la salle polyvalente de Conthey aura lieu la 5e édition du salon Quartier d’Affaires. Cette édition aura pour invité d’honneur la Formation continue.
Des conférences, des workshops, des rencontres, du réseautage, le tout dans une ambiance conviviale et décontractée.
En combinant approches centrées sur l’individu et approches analytiques de la société, cette formation vise à:
Comprendre le contexte généré par une société devenant de plus en plus hypertechnicisée
Comparer les représentations de l’utilisation d’Internet à l’adolescence avec les usages effectifs que les adolescent·e·s font d’Internet
S’interroger sur les usages individuels et sociétaux, qu’ils soient jugés problématiques ou non, ainsi que sur le contexte socio-culturel qui sert de cadre de référence
Mieux comprendre le rôle des moyens de communication numériques dans le développement des adolescent·e·s
Réfléchir à des outils/pistes d’accompagnement possibles, en particulier lors de situations problématiques
Pour info, le module Myorientation a été supprimé, et remplacé par de nouvelles pages d’informations sous le titre CHOIX PROFESSIONNEL Ces pages reprennent le concept de myorientation, avec les différentes étapes et des rubriques destinées spécifiquement aux enseignants.
La Haute École d’Ingénierie (HEI) ouvre ses portes à l’occasion de l’exposition des travaux de Bachelor de ses diplômant·e·s le vendredi 26 août prochain. Au carrefour des activités d’enseignement et de recherche appliquée, la Haute École a le plaisir de vous faire découvrir la qualité des travaux de ses étudiant-e-s. Cet évènement est également une opportunité de rencontrer des futur·e·s ingénieur·e·s, ainsi que leurs professeur·e·s.
La HEI a le plaisir de vous inviter Le 26 août 2022 dès 17hSur le Campus EnergypolisRue de l’Industrie 19 et 23 – 1950 Sion
L’exposition des travaux de diplômes des étudiant·e·s ainsi que le bar de l’association des étudiant·e·s ouvriront dès 17h. Au cours de cette soirée, vous pourrez rencontrer et échanger avec les futurs ingénieur·e·s qui entreront prochainement sur le marché du travail. Une chance de faire connaissance avec de jeunes talents et peut-être de futur·e·s employé·e·s. Les professeur·e·s, collaboratrices, collaborateurs de la HEI seront également présents.
Nous vous invitons également aux nouvelles éditions des Pitch Challenge des diplômant·e·s 2022 :
Le 30 août 2022 dès 15h à Viège, sur le site de Lonza. Info sur www.hevs.ch/pitch22de
Ces évènements vous donneront l’occasion de voter pour le projet le plus convaincant ! Nous remercions nos partenaires : l’EPIC (École Professionnelle Intercantonale de la Chimie), le GEC (Groupement d’entreprises du Chablais), Lonza, ainsi que Swiss Engineering pour leur collaboration et leur confiance. Les évènements sont également disponibles sur LinkedIn :
L’écriture inclusive fait couler beaucoup d’encre et les papiers d’opinions sont foisons. Qu’en est-il du côté de la recherche ? Un consensus existe-t-il ?
Suite à sa présentation à l’OSP, Sabrina Tacchini nous transmet le lien pour un questionnaire sur la durabilité et son emploi. Questionnaire élaboré dans le cadre de sa recherche.
La passation dure environ 25 minutes et peut être proposée à tout le monde : COSP, secrétaires, consultantes et consultants, maris, femmes, amis, etc.
« Ca serait sympa de le transférer aux collègues et à toute personne qui a envie de participer et 25 minutes sous la main. »
Concernant nos places d’apprentissages, je souhaiterais faire parvenir le message à toutes et tous vos collègues conseillères et conseillers en orientation car nous avons encore des places d’apprentissages en Ecole de Métier pour les Gestionnaires en Intendance.
En effet, la date du délai pour la remise des dossiers est dépassée, mais nous acceptons encore les candidatures qui nous parviennent…
Dans le cas où vous aurez des jeunes intéressés.. Merci d’avance,
L’OrTra SSVs lance un « serious game » pour promouvoir les métiers de la santé, du travail social et de l’intendance, de façon ludique, à travers une intrigue.
Le jeu s’adresse en priorité aux adolescents en âge de choisir une formation, à leur entourage, mais également à toutes les personnes voulant simplement résoudre l’énigme.
Le jeu est disponible en français et en allemand, à télécharger gratuitement sur l’AppStore pour les appareils Apple, ou le PlayStore pour les Androïds, sur tablette ou smartphone.
L’OSP est d’ailleurs bien mise à contribution puisque nous allons intervenir sur Rhône FM, Vertical radio et Radio Chablais au fil de la journée. Je remercie vivement Françoise Seppey, Frédérique Guimdo et Anne Monnier qui se prêteront avec moi au jeu des interviews.
Le secteur du bâtiment peut et doit contribuer dans une large mesure à la réduction des émissions de CO2 en Suisse. Pour ce faire, il faudra remplacer des centaines de milliers de chauffages fonctionnant aux énergies fossiles par des systèmes recourant aux énergies renouvelables, rénover un grand nombre d’édifices pour en améliorer l’efficacité énergétique, installer des systèmes de commande intelligents et passer à un approvisionnement des bâtiments en électricité entièrement basé sur les énergies renouvelables. Or, la branche du bâtiment connaît déjà une pénurie de main d’œuvre qualifiée. Elle fait aussi face à une relève insuffisante due à la baisse continuelle du nombre de personnes disposées à se former dans ce domaine. Une offensive de formation du secteur du bâtiment est donc lancée pour remédier à cette situation. Elle vise à améliorer l’attrait des professions liées à la construction ou à l’immobilier et à les faire connaître davantage au grand public ces prochaines années. SuisseEnergie lui apporte son soutien.
La conseillère fédérale Simonetta Sommaruga et les personnes représentant le secteur du bâtiment ou la Confédération au plus haut niveau se sont engagé publiquement en faveur des objectifs de cette initiative. L’événement a été retransmis en direct sur Internet le 20.01.2022.
Dans la foulée de la JSA du 22 mars 2022 et de la présentation de l’Agenda 2030 (Plan Climat Valais) par Violaine Aubry et Sabrina Tacchini, voici des liens vers les supports qui ont été évoqués :
1. Cette brochure des associations FFU-PEE et OdAUmwelt à l’attention des conseillers et conseillères en orientation :
2. Cette présentation très intéressante de Valérie Cohen-Scali :
En réponse à votre courriel, oui nous acceptons des adolescents de moins de 15 ans pour quelques jours voire une semaine.
En été, nous avons beaucoup de pensionnaires et donc de charges de travail et ne disposons pas forcément des ressources nécessaires pour un accompagnement adéquat des jeunes gens lors de leur stage d’observation, par exemple.
Cependant durant les périodes plus calmes, c’est avec plaisir que nous pouvons les accueillir. J’entends par là à partir de fin septembre à fin avril, sans soucis.
En espérant avoir répondu à votre demande, je reste à votre disposition, et vous envoie mes meilleures salutations.
Dans notre optique de partages et d’échanges d’information avec nos collègues haut-valaisans, nous souhaiterions ouvrir la possibilité aux intéressées et intéressés de s’inscrire sur l’intranet du BSL. C’est-à-dire l’équivalent haut-valaisan du COSP-info. Vous pourrez consulter des informations germanophones qui concerneront parfois des sujets cantonaux ou nationaux, mais également des choses propres à l’interne du BSL. Adresse du site : Home | BSL-Newsletter (berufsberatung-vs.ch)
Les personnes intéressées peuvent s’annoncer auprès d’Emmanuelle Favre. Ensuite, vous recevrez un nom d’utilisateur et un mot de passe pour consulter ou écrire des articles.
Rem: la proposition est également faite au personnel du BSL pour accéder à notre COSP-Info.
Dans le cadre de l’ONISEP, Shékina Rochat fait une conférence le mercredi 9 mars de 14h00 à 15h00 sur faire de son orientation un jeu.
Voici le lien : https://www.onisep.fr/Equipes-educatives/Offre-de-formation-et-de-service/Les-rendez-vous-de-l-orientation/Shekina-ROCHAT-Faire-de-son-orientation-un-jeu
Un super outil pour comprendre les biais cognitifs !
(et développer l’esprit critique)
L’orientation c’est aussi apprendre à repérer et accepter nos propres biais afin de prendre du recul sur notre perception du monde. et inviter nos consultant-e-s à faire de même…
Mais qu’est-ce qu’un biais cognitif ? Un biais cognitif se définit comme un mécanisme de pensée qui altère notre jugement. Le terme biais fait référence à une déviation systématique par rapport à la réalité qui nous conduit à accorder une importance différente à des faits de même nature. Les biais sont souvent identifiables quand des paradoxes sont pointés dans le raisonnement….
Ressource originale à consulter :
– sous forme d’infographie : cliquer sur chaque biais pour en avoir la définition ;
– sous forme de PDF (34 p., voir plus bas pour le sommaire) imprimable
Le salon des métiers de Fribourg semble maintenu.. (quasiment aux mêmes dates que Your Challenge initialement prévu)
Ils font aussi un « Flash Jobs » (job dating), avec inscription sur le site directement. Ce serait pas mal pour pour notre Flash Jobs non…? Cela simplifierait les transmissions d’infos et les inscriptions…?
La 9e édition de START! aura lieu du 8 au 13 février 2022 à Forum Fribourg.
Ce portail est avant tout un outil de travail quotidien pour le personnel de l'Office d'orientation scolaire et professionnelle. Il est à ce titre un espace privé. Cependant et sous certaines conditions, vous pouvez vous abonner afin de bénéficier d'un plus large accès aux publications. Pour vous inscrire, veuillez formuler une demande écrite à Anne Monnier en précisant votre fonction professionnelle et la raison de votre demande.